Mémorial de Canadiens français aux USA

Mémorial de Canadiens français aux USA

Page 212

... On ne sait ce qui l’amena à se livrer à la traite des pelleteries, mais l’atavisme y fut sans doute pour quelque chose. En 1795, il participe à une expédition sur la rivière Missouri. ...

Page 214

... Il arriva à Québec en 1678 après avoir pris part à sept campagnes navales et perdu la main droite en Sicile. ...

Page 215

... Biographies En 1689, alors qu’il faisait la traite des fourrures au fort Saint-Louis (près d’Utica, Illinois), des nouvelles lui parvinrent à l’effet que Cavelier de La Salle avait été assassiné par ses hommes dans la région de la rivière Arkansas. ...

Page 216

... Elle épousa par la suite Antoine Gingras, qui s’adonnait à la traite des fourrures au Manitoba, puis dans le Dakota du Nord. ...

Page 218

... Installé à Saint-Louis, alors en territoire espagnol, il pratique la traite pendant plus de vingt-cinq ans. Ancien élève du Séminaire de Québec, il est également en mesure d’exercer la profession d’instituteur. ...

Page 219

... Sa deuxième épouse décéda vers 1930 après lui avoir donné vingt-sept enfants. ...

Page 220

... Étonnant personnage qui, après avoir commandé le fort Pontchartrain (Détroit), devint déserteur, s’adonna illégalement à la traite des fourrures et explora le cours du Missouri. ...

Page 221

... Depuis plusieurs années déjà, des coureurs de bois canadiens se livraient à la traite des fourrures lorsque Jacques Viau, peu avant la fin du XVIIIe siècle, un pionnier de la baie des Puants (Green Bay, Wisconsin), établit des comptoirs là où sont situées ...

Page 223

... Localisation des forts et postes de traite situés sur le territoire actuel des États-Unis et mentionnés dans l’ouvrage ASTORIA – Voir George. BAIE DES PUANTS – Baie Verte – Green Bay (Wisconsin). BAIE–VERTE – Voir Baie des Puants. ...

Page 225

... Localisation des forts et postes de traite SAINT-FRÉDÉRIC – Près de Crown Point (New York). ...