... Il s’engagea dans la traite des pelleteries en qualité de receveur. Passé en France en 1696 puis en 1699, il y obtint l’autorisation de fonder un établissement à la rivière Ouabash (Wabache, Illinois). ...

Mémorial de Canadiens français aux USA
... Il y prit la relève de son beau-père et, pendant une quinzaine d’années, s’y livra à la traite. ...
... Certains citoyens estimaient encore qu’on ne saurait célébrer la mémoire de quelqu’un qui n’était pas un exemple pour les enfants, mais le conseil municipal, à sept voix contre une, décida de lui élever un monument. ...
... Après le traité d’Utrecht (1713), des pourparlers s’engagèrent entre les Abénaquis et les Anglais. ...
... On a relevé pendant la période allant de 1738 à la fin du Régime français plus de quatre-vingt contrats d’engagement de voyageurs pour pratiquer la traite des fourrures en divers endroits situés dans les États actuels du Michigan et du Wisconsin. ...
... Il n’y eut que sept survivants. La Corne Saint-Luc parvint à Québec après une marche d’une centaine de jours dans des conditions indescriptibles. ...
... Au début du XIXe siècle, il établit un comptoir de traite sur les bords de la rivière Missouri. La Columbia Fur Company s’y installa en 18/07/03, 13:53 ...
... La traite des fourrures devait dès lors se pratiquer avec une certaine sérénité dans les comptoirs de l’Ouest. La Porte de Louvigny devint l’un des conseillers du gouverneur. ...
... À la suite de diverses aventures découlant de la grande concurrence que se livraient la Compagnie du Nord-Ouest et la Hudson’s Bay Company, il devint, en 1821, le traiteur en chef de cette dernière entreprise. ...
... À la recherche d’une carrière prometteuse, il passa aux États-Unis à l’âge de dix-sept ans et donna un premier concert à La Nouvelle-Orléans (Louisiane). Il s’associa à un violoniste espagnol, ce qui l’amena en tournée au Brésil et aux Antilles. ...