Montréal et la bombe

Montréal et la bombe

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... Il faut raconter cette journée commencée normalement à traiter des affaires de politique intérieure, mais il faut surtout évoquer ce moment crucial qui à coup sûr va marquer l’histoire. ...

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... L’un traite de l’utilisation de l’uranium pour une bombe en se basant sur les idées de Peierls et Frisch, l’autre considère l’uranium comme source d’énergie, tâche à laquelle travaillent Halban et Kowarski à Cambridge. ...

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... Leur premier rapport traite des effets chimiques des radiations en présentant une synthèse des articles publiés entre 1927 et 1942. ...

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... Difficile de refuser cette mission, puisqu’elle consistait à effectuer des mesures sur des cancéreux testant un traitement à base de phosphore radioactif. ...

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... Ce n’est pas tant les sujets eux-mêmes que la manière dont il les a traités qui est originale. ...

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... Deux éléments aux potentielles applications militaires, soit le polonium et le plutonium, sont directement traités à Montréal. ...

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... C’est ainsi qu’en octobre 1943 Goldschmidt s’envole de nouveau à New York et travaille à l’hôpital Memorial pour récupérer le polonium qui se trouve dans des sources de radium utilisées comme traitement contre le cancer. ...

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... Ce rapport fait seulement sept pages, dont trois de tableaux, mais sa lecture est très instructive. ...

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... Joseph Mitchell en est bien conscient, lui qui l’a utilisé dans des traitements sur les patients. Jusqu’alors, le radium était placé dans une aiguille qu’on insérait directement dans une tumeur en passant au travers de la peau. ...

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... Dans cette université, c’est Harold Johns, aidé de ses étudiants au doctorat, qui conçoit une « bombe au cobalt », comme on appelle à l’époque les machines de traitement du cancer. ...