Neil et John McLaren

Neil et John McLaren

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... Les commissaires jonglèrent avec l’idée de créer un bureau d’inspection du poisson. Déçus, les pétitionnaires tentèrent de 40.  ...

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... Les poissons désormais envoyés par McLaren à Québec tomberaient sous la loupe des inspecteurs45. ...

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... Le saumon et les autres poissons devraient être « livrés salés et séchés comme il se doit », aussitôt qu’il serait possible de le faire à la fin de la saison de pêche. ...

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... Le poisson vendu par Savard au cours de l’été n’avait pas encore été entièrement payé58. La première saison de Leggat à Mount Murray commençait bien mal. La valeur totale de la transaction n’était pas mentionnée dans l’acte de procuration. ...

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... Il lui promettait de produire un compte exact de tout le poisson vendu à Québec et de lui en verser toute la recette. ...

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... En 1818, Savard œuvrait dans les pêcheries, vendait du poisson à Leggat et mandatait McLaren de percevoir son dû en son nom. On extrapolera en proposant qu’il collabora activement avec la famille McLaren pendant les dernières années du bail. ...

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... Avec des pois et des patates en plus grande quantité, et avec le poisson pêché annuellement, la nourriture des McLaren paraît, de prime abord, plus diversifiée ; elle semble par ailleurs exprimer la pratique typique d’une agriculture de subsistance et ...

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... Ce serait donc une convergence de circonstances extérieures – la cherté du sel qui aurait, par ricochet, affecté le marché du poisson sur les étals des marchands de Québec – et d’autres bien personnelles – un accident inopiné – qui obligea McLaren à céder ...

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... On mangeait du poisson en masse. ...

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... Par contre, la vente de poissons salés (4 quarts) et de poissons frais (8 quarts) confirme que John exerçait encore son droit de pêche devant ses terres, comme au temps de son père, ce qui vient relativiser l’absence de données concernant le poisson préparé ...