... Sept d’entre eux se cotisèrent pour assurer la caution d’un prêt de 800 £ qu’accorderait le gouverneur. Pour une somme de 100 £ chacun, signèrent le curé ainsi que les marchands Robert Cimon, Alexis Tremblay, Alexis Tremblay-Picoté et Thomas Simard. ...
Neil et John McLaren
... Port-au-Persil – qui pouvait géographiquement présenter quelques traits familiers avec son Perthshire natal3 – fut un choix délibéré de la part de Neil McLaren. ...
... Lorsque prit fin le bail consenti à Leggat, ses droits de pêche sur le littoral seigneurial étaient encore valides pour une période de sept ans. On ne saurait toutefois affirmer qu’il retourna lui-même pêcher le saumon. ...
... Selon d’autres souvenirs familiaux retranscrits par Victor Tremblay, Neil McLaren n’aurait pas abandonné Chicoutimi « pour de bon », lorsqu’il quitta le poste de traite en 1804 ; il y serait revenu « encore plusieurs fois après18 ». ...
... 238 N EI L ET JOH N MC L A R EN encadré 14 Comment les McLaren ont exploité la « pluriactivité » décrite par Gérard Bouchard Comme leur père avant eux, John et David McLaren renouèrent avec l’expérience du monde de la traite. ...
... Il aurait commencé sa carrière comme maître d’école, tout en goûtant à l’aventure dans les postes de traite, où il épousa Agnès Siméon vers 1815. De 1833 à 1844, il aurait été commis au poste de la rivière Godbout. ...
... Les trois premiers clients du jeune McLeod retrouvés en archives seraient James Alexander, François Truchon et Joseph Savard, auxquels il consentit des sommes de 10 £ à 15 £ « en vertu d’une traite sur l’office de ladite honorable Compagnie de la Baie ...
... Il recommanda à sa sœur de traiter John avec douceur, car il aurait besoin de son aide pour écouler son bois. ...
... La valeur totale des créances de ses ex-engagés, enregistrées en ce printemps 1840, s’élevait à la jolie somme de 67 £ 18 s 1½ d, soit l’équivalent d’un troupeau de sept vaches laitières51. ...
... Lui était aussi interdit de chasser ou de traiter avec les Autochtones. ...