... essentiels pour la traite des fourrures. ...

Nouvelle-France. English Colonies.
... Mais les traités antécédents ont démontré leur fragilité, et seul un appui massif de la métropole pourrait peut-être permettre son maintien. ...
... Marie de l’Incarnation à son fils, 1er septembre 1668, Correspondance, p. 808. 16. « Permission de traitter les boissons aux Sauvages », 10 novembre 1668, JDCS, vol. I, p. 535. ...
... Les Canadiens des années 1670 vivent de la traite des fourrures. Pour ce, ils doivent maîtriser les seuls moyens de communication de l’époque: les cours d’eau. ...
... On se souvient qu’en 1659 Radisson et Des Groseilliers se rendaient faire la traite des fourrures jusqu’à l’extrémité ouest du lac Supérieur et en rapportaient l’année suivante une riche cargaison. ...
... Mais, rétablis tant bien que mal dans la vallée laurentienne depuis 1632, les Français sont bien conscients qu’ils doivent eux-mêmes s’installer à la baie d’Hudson s’ils veulent en contrôler la traite. ...
... 74 nouvelle-france Hudson, [… ce qui cause] un fort grand préjudice à la traite de Tadoussac47 ». Précisons que Radisson et Des Groseilliers, plus aventuriers que Français, changeront d’allégeance selon leurs intérêts. ...
... Bridgar…] « de traître et de voleur ». ...
... Au sud, nulle surprise à retrouver dès 1658 Radisson et Des Groseilliers qui, après avoir passé par le lac Michigan, parviennent au Mississippi supérieur, toujours pour la traite. ...
... Traité cité par M. Trudel, La Seigneurie des Indes occidentales, p. 228-229. 59. RJ, 1672-1674, vol. LVIII, p. 100. 60. Mémoire de Talon sur le Canada, 10 octobre 1670, RAPQ, 1930-1931, p. 121. 61. Voir carte 3. 62. ...