... Depuis 1681, il faut un congé pour faire la traite, congé coûtant 1000 l., dont la moitié revient au gouverneur pour une redistribution à ceux qui sont dans le besoin. La Salle — on s’en serait douté — ne se préoccupait aucunement de cette modalité. ...

Nouvelle-France. English Colonies.
... Ce rien rendre, concernant le « pillage entier de sept canots françois chargez de marchandises », décide enfin le vénal La Barre à les attaquer. ...
... Il en résulte que la traite des fourrures, qui s’élevait à 95 489 l. en 1683, passe à 49 056 en 1684, et à 23 568 en 168540 ! De telle sorte que certains penseront même à « abandonner la colonie41 ». ...
... Car non seulement fait-il du « commerce direct avec les Anglois, [… auxquels il procure] des denrez [envoyées] de France pour la subsistance des habitans47 », mais il pratique en outre tous les trafics interdits à un gouverneur, telles la traite des fourrures ...
... 102 nouvelle-france Remplacé par Meneval50, celui-ci reçoit pour principale « Instruction » d’empêcher les Anglais de venir pêcher et faire la traite en Acadie, « cause du misérable estat dans lequel est le commerce des subjects [acadiens] de Sa Majesté51 ...
... De 1686 à 1689, Iberville, « the scourge of the English », rend française la baie James, sans toutefois prendre le fort Nelson, principal centre de la traite. ...
... Drake-Cortez décide alors, à l’automne 1687, de se rendre en France pour convaincre les métropolitains de l’importance de la traite par le nord de la baie d’Hudson. ...
... Car depuis, cette trahison ayant « attiré un si grand mépris chez toutes les nations90 » amies, on constate que « les Anglois [en profitent] pour débaucher nos Alliés » de l’Ouest91 en allant traiter chez eux à des prix plus avantageux92. ...
... traitte des pelleteries100 ». 95. ...
... Dix-sept selon G. Lanctôt, Histoire…, vol. II, p. 151. Ou quatorze, selon H.C. Burleigh, « Ourehouare », DBC, vol. I, p. 540. ...