Nouvelle-France

Nouvelle-France

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... Ils voient d’un mauvais œil tout nouvel arrivant dont le but premier n’est pas la traite des fourrures. ...

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... Ils sont en Nouvelle-France pour s’enrichir avec la traite des fourrures. Ils sont aussi ici pour vivre une vie d’hommes libres. Ils parlent les langues autochtones. Ils vivent à l’indienne. Ils vivent avec des Indiennes. ...

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... Durant les années 1660, le lieutenant général Prouville de Tracy fixe, pour la première fois, le prix de la traite avec les Indiens. ...

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... Ses sept enfants se déchirent autour du testament. Devant l’impossibilité de s’entendre, les terres des Plaines seront tirées au sort. ...

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... Cela lui mettra à dos la moitié de la colonie qui ne vit que de la traite des fourrures avec les tribus indigènes. ...

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... Ceux qui branlent dans le manche perdent leur droit de chasse, de pêche et de traite avec les Indiens. Talon va encore plus loin. ...

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... Le trait carré de Charlesbourg en est un bel exemple. Il concède des dizaines de seigneuries aux plus méritants et aux plus vaillants. Il encourage la culture du lin et du chanvre. Il installe des tanneries. ...

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... L’historien André Vachon résume ainsi les réalisations de l’intendant du roi qui a transformé le visage de la Nouvelle-France : « D’une colonie axée uniquement sur une agriculture de subsistance et sur la traite des fourrures, il commença de faire un ...

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... Il est tellement occupé à installer des postes de traite à l’Ouest, ce qui ruine le commerce des Montréalais, qu’il en oublie la menace iroquoise. ...

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... Le gouverneur ne se déplace qu’en grand équipage pour aller signer les traités de paix. Il s’est fait construire un immense canot armorié dans lequel il peut faire le voyage à Montréal bien à l’aise dans une sorte de trône royal. ...