Œuvres complètes de Champlain, tome 2 (Les)

Œuvres complètes de Champlain, tome 2 (Les)

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... hiver, quand les neiges sont grandes, ils font une manière de raquettes, qui sont grandes deux ou trois fois plus que celles de France, qu’ils attachent à leurs pieds, et vont ainsi dans les neiges, sans s’enfoncer, car autrement ils ne pourraient pas chasser ...

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... Voilà le plaisir qu’ils ont le plus souvent en hiver car, en été, ils ont assez de quoi se maintenir et faire des provisions, pour n’être assaillis de ces extrêmes nécessités, les rivières étant abondantes en poissons et les chasses fournies en oiseaux ...

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... Ils me dirent qu’ils ne pouvaient veiller et qu’ils travaillaient assez de jour à la chasse, d’autant que, quand ils vont en guerre, ils divisent leurs troupes en trois, à savoir une partie pour la chasse séparée en plusieurs endroits, une autre pour ...

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... Ils conservent ces farines pour leur nécessité et, quand ils sont proches de leurs ennemis ou quand ils font retraite après leurs charges, ils ne s’amusent pas à chasser, se retirant promptement. ...

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... Dans celle-ci, il y a nombre de belles îles, qui sont basses, remplies de très beaux bois et prairies, où il y a quantité de gibier et chasse d’animaux, comme cerfs, daims, faons, chevreuils, ours et autres sortes d’animaux qui viennent de la grande terre ...

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... La pêche du poisson y est fort abondante, et de toutes les espèces que nous avons en France, et de beaucoup d’autres que nous n’avons point, qui sont très bons, comme aussi la chasse des oiseaux de différentes espèces, et celle des cerfs, daims, chevreuils ...

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... Il y eut un jeune homme appelé Louis220, qui était fort amateur de la chasse, lequel entendant cela voulut y aller contenter sa curiosité et pria fort instamment notre dit Sauvage de l’y mener, ce que le Sauvage lui accorda, avec un capitaine sauvage ...

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... Dans ses Voyages de 1613, Champlain a évoqué une nouvelle fois la crainte suscitée chez les Hurons par la présence des autres traitants français : « Le lendemain 17e jour dudit mois, ils [les Hurons] dirent qu’ils s’en allaient à la chasse des castors ...

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... Dans les Voyages de 1613, la phrase continue ainsi : « Et que ce qui leur avait fait dire qu’ils allaient à la chasse, et la barricade qu’ils avaient faite, ce n’était pas la crainte de leurs ennemis, ni le désir de la chasse, mais la crainte qu’ils avaient ...

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... Ce lac est rempli de belles et grandes îles, qui ne sont que des prairies, où il y a plaisir de chasser, la venaison et le gibier y étant en abondance, aussi bien que le poisson. Le pays qui l’environne est rempli de grandes forêts. ...