Contribution des pionniers de la ville de Paris au peuplement du Canada (La)

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... En 1692, il est emballeur au bureau des castors et il résidait dans une maison de la rue Fontaine-Champlain (aujourd’hui rue du Petit-Champlain) dans la basse-ville de Québec. ...

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... Poisson, Catherine, est née vers 1652 dans la paroisse SaintPaul–Saint-Louis, quartier de l’Arsenal, 4e arr. de Paris, fille de Jean Poisson et d’Antoinette Foullon. ...

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... Au recensement de la ville de Québec en 1744, il était gardien au bureau des castors et il habitait dans une maison de la place de la basse-ville. Il est décédé à Québec le 3 octobre 1750. Famille établie à Québec, neuf enfants. ...

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Patente (La)

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... Cette situation qui favorisait l’assimilation des francophones de Témiscamingue fut vivement dénoncée par l’Ordre. « La CX en possession de ces faits, fait des représentations à qui de droit, soit directement, soit le plus par la voie de ses organismes ...

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... Le poison s’est-il changé en remède ? Il y a à peine un an, le communisme était notre pire ennemi. Comment se fait-il que certains aujourd’hui soient prêts à le porter aux nues11. ...

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... L’Ordre se console en s’appuyant sur le fort taux de natalité chez les Canadiens français pour freiner l’assimilation de ceux qui étaient convenus d’appeler à l’époque les « nôtres ». « En considérant les naissances nombreuses dans les autres provinces ...

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Souvenirs d'un patriote exilé en Australie

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... choisissent à cet effet deux officiers nommés Castors dont le rang équivaut à celui de capitaine et chacun d’eux nomme à son tour cinq caporaux désignés sous le nom de Raquettes. ...

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... On attrapait des poissons au filet qui se sont ajoutés au menu régulier. Dans les baies que formait la rivière Parramatta il y avait beaucoup d’huîtres. Plusieurs prisonniers en ramassaient et mangeaient les plus grosses. ...

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... Les myriades de poissons volants qui s’élevaient de la surface de l’eau et s’élançaient en tous sens, pour échapper à la poursuite de leur ennemi implacable, le vorace dauphin, en même temps que des légions de « pigeons du cap » voltigeaient au dessus ...

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Trois femmes de passion

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... Elle eut droit au partage du thé fort et au plat de viande de castor. La vieille Indienne hocha la tête et confirma, comme si tout allait de soi, qu’il fallait s’y attendre, que la nature était ainsi. ...

Page 99

... Il semblait s’être remis d'accord avec ses chiens, ou serait-ce que ces derniers avaient assimilé les réprimandes ? Chacun restait bien à sa place, piteux, les oreilles basses, attendant le signal. ...

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... 8 L es Indiens revenaient des campements d’hiver et défilaient à la queue leu leu pour porter leurs fourrures à la Company : peaux de castor, de renard, de loup ou autres s’étalaient à la grandeur des comptoirs. ...

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Jardins et jardiniers laurentiens, 1660-1800

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... L’auteur a fait le tour de ses comptes de dépenses pour en extraire l’essentiel : « C’est à son compte qu’apparaissent tout d’abord chemises garnies de dentelles, chapeaux de mi-castor, cannes ornées de cordons ou de rubans, jarretières à grenade, boucles ...

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... 154 jardins et jardiniers laurentiens manières : grillé, bouilli, mélangé au poisson, à la viande, etc. Les Hurons savaient l’apprêter d’une vingtaine de façons, selon un spécialiste de l’alimentation en Nouvelle-France40. ...

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... La majorité, à la ville comme à la campagne, conservent toutefois leurs légumes dans leur cave ou dans des caveaux qu’un écrivain qui a vécu au Canada de 1698 à 1701, Bacqueville de La Potherie (Claude-Charles Le Roy dit) assimile à « autant de petits ...

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Grandes Familles du Québec

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... Sans cesser de travailler la terre, il louera « une pêche à saumon et autres poissons », selon Michel Langlois. Les conditions de son mariage sont originales. Le 3 octobre 1657, il épouse, à Québec, Marie Parenteau, âgée de 16 ans. ...

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... La vie de René de Lavoye sera somme toute heureuse et réussie, mais jamais reposante. « On ne peut pas troquer sa croyance religieuse comme une peau de castor », écrit le généalogiste Gérard Lebel, dans Nos ancêtres. ...

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... Il fait aussi le commerce du poisson et il est, un temps, propriétaire d’une barque de pêche, La Sainte-Anne. Il fait des affaires avec Charles Aubert de la Chesnaye, l’un des commerçants les plus riches de la colonie. ...

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Du Tewaarathon à la crosse

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... Miller, Skyscrapers Hide the Heavens2 ; et Olive Patricia Dickason, Les Premières Nations du Canada3 nous ont été particulièrement utiles en ce qui concerne les premiers contacts et sur les politiques d’assimilation mises en place par le gouvernement ...

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... Cette politique d’assimilation des Autochtones par le gouvernement canadien s’accentua après la création de la Confédération canadienne en 1867. ...

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... Les feuilles d’érable et le castor sont des symboles culturels identifiés à la nouvelle nation canadienne qui veut se distinguer culturellement. ...

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Jean Mauvide. De chirurgien à seigneur de l’île d’Orléans au XVIIIe siècle

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... Puis une retentissante faillite est survenue en France, en 1700, en raison d’une accumulation excessive de millions de peaux de castors et de leur pourrissement, mangées par la vermine, dans les entrepôts débordants. ...

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... Dans les premières années de ce commerce, on assiste à la naissance d’un « mouvement d’exportation » de produits locaux, comme le poisson séché ou salé, l’huile de baleine ou de loup-marin, le bois, la viande, le blé, la farine, vers des destinations ...

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... Il se peut que ces trois personnes aient eu besoin de s’approvisionner en ville, ou qu’elles aient saisi l’occasion de la fête de Pâques pour venir vendre du beurre, du poisson, de la viande ou des œufs au marché de Québec, ou qu’elles soient venues « ...

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Félix Leclerc

Page 45

... Poisson d’Or a entendu l’appel du Maître et sa mère a accepté de donner son fils, « comme à l’église l’enfant de chœur offre l’encens » (p. 87). ...

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... première pa rtie • Écrire pour le théâtre : Maluron (1947)… 85 canadiens mis en scène par Carl Dubuc peuvent être assimilés à des figures d’artistes non pour leur rôle historique, mais parce que le traitement proposé dans cette œuvre relève de l’histoire ...

Page 101

... étude, c’est-à-dire sans s’inscrire dans une perspective théorique particulière : la reconnaissance suppose ainsi l’attention accordée par autrui au produit artistique, que ce soient les pairs, les critiques ou les publics, alors que la consécration est assimilée ...

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Virilité en jeu (La)

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... chapitre iii  •  paroles et perceptions des jeunes 91 indices dont l’assimilation par le jeune hétérosexuel et la reconnaissance chez autrui permettent l’apparition de doutes. ...

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... En somme, pour plusieurs garçons adolescents, les hommes gais sont encore des personnages étrangers qui ne sont pas totalement saisis ni assimilés. ...

Page 138

... L’accès des homosexuels au mariage abattrait toutes les frontières de la norme sociale  : « Ah ben j’trouve que si ça continue de même un moment donné on va pouvoir marier un poisson rouge pis un singe là, t’sais un moment donné y faut arrêter quelque ...

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