Page 18

... Pour ce faire, la consultation des écrits du père Jean de Brébeuf, du père François Le Mercier et du père François-Xavier de Charlevoix nous aura été d’un grand secours. Ce livre se divise en quatre chapitres. ...

Page 28

... Joseph-François Lafitau, Mœurs des sauvages amériquains comparées aux mœurs des premiers temps, tome II, par le père Lafitau de la Compagnie de Jésus, Paris, Saugrain l’aîné et Charles Estienne Hochereau, 1724, p. 354. ...

Page 38

... Lucien Campeau, Monumenta Novae Franciae, Vol. II : Établissement à Québec (1616-1634), Québec, Les Presses de l’Université Laval, 1979, p. 364. ...

Page 18

... Il se pourrait fort bien que les habitants des Éboulements aient pratiqué les mêmes méthodes d’entreposage qu’à Petite-RivièreSaint-François, d’où plusieurs étaient originaires. ...

Page 19

... En 1810, au moment où Pierre de Sales Laterrière fit l’acquisition de la seigneurie, Jean-François Tremblay se réserva, outre un « lopin de terre de six arpents de front sur quinze arpents de profondeur sis et situé dans l’enclave du dit fief au lieu ...

Page 20

... En 1851, une requête à cet effet de François Asselin, un tanneur de Baie-Saint-Paul qui possédait une terre aux Éboulements, ne semble toutefois pas avoir eu de suite positive. ...

Page 9

... Il fait ses études au collège de Nicolet et à l’Université Laval où il obtient un diplôme en droit et il sera ensuite admis au Barreau de la province de Québec le 31 juillet 1909. ...

Page 120

... Or, je suis précisément le Conseiller Législatif qui représente la ville de Québec et ancien élève de Laval, et je n’ai pas été invité, comme je ne l’ai d’ailleurs jamais été dans le passé, bien qu’ayant été Ministre, etc. ...

Page 157

... Lachance, la Maison Fournier et La Librairie Laval, et qu’on devrait faire quelque chose chez nous aussi. ...

Page 7

... n’est pas secouru cette année, il ne peut subsister sans un effet extraordinaire de la puissance divine que l’on ne doit pas attendre, bien que nous devions l’espérer de sa bonté. » Lettre de Mgr de Laval en date du 20 octobre 1659 à M. le comte d’Argenson ...

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... Les pères jésuites Antoine Poncet et François Du Perron, aumôniers de Ville-Marie, veillaient à ce que la discipline religieuse fût soigneusement respectée9. 9. ...

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... Pour sa part, Mgr de Laval écrivait ceci le 20 octobre 1659 au frère du gouverneur 40 : « Quelque soin et quelque vigilance que M. votre frère41 puisse apporter pour soutenir ce pays, s’il n’est pas secouru cette année, il ne peut subsister sans un effet ...

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... du même auteur Gabriel-François Coyer, Jacob-Nicolas Moreau, Écrits sur le patriotisme, l’esprit public et la propagande au milieu du xviii e siècle, La Rochelle, Rumeur des Âges, 1997. Un nouveau patriotisme français, 1750-1770. ...

Page 46

... Sa place prééminente suscita vite des jalousies. « La famille des Pelham, note l’ambassadeur de France, François de Bussy, ne voit qu’avec un extrême mécontentement l’autorité que s’arroge le Lord Carteret. » Et Bussy de pronostiquer la prochaine mise ...

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... En décembre  1758, Louis  XV nomma au poste des Affaires étrangères Étienne François, duc de Choiseul. Celui-ci voulait commencer son ministère par un coup d’audace. ...

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... Radisson est l’un des plus jeunes du groupe, avec son ami François Godefroy, le fils du capitaine, et Mathurin Lesueur, un grand maigre qui est arrivé à Trois-Rivières quelques semaines après Radisson, l’été dernier. 16 ...

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... Le printemps va bientôt arriver, affirme son ami François. ...

Page 18

... Son ami François lui fait signe d’avancer immédiatement. Alors Radisson sort du rang et se rend jusqu’à son capitaine, très impressionné par la force qui émane de cet homme à la carrure exceptionnelle. — Mets-toi ici, lui dit Godefroy. ...

Page 52

... En 1534, Jacques Cartier prend possession du territoire au nom du roi François Ier. Il remonte le fleuve Saint-Laurent, première étape d’une colonisation qui va durer plus de deux siècles. ...

Page 53

... Marie-Josèphe, vendue à un colon hollandais, se retrouve en Nouvelle-Angleterre, avant d’être cédée à un négociant français, François Poulin de Francheville, qui l’emmène à Montréal et la fait baptiser, sous le prénom d’Angélique, à l’église Notre-Dame ...

Page 80

... 80  •  esclave et bourreau Marie-Josèphe-Angélique d’avoir délibérément mis le feu à la résidence de sa maîtresse, la veuve du marchand François Poulin de Francheville, qui avait acheté cette femme en territoire anglais quatre ans plus tôt. ...

Page 9

... Il a poursuivi ses études au Collège des jésuites de Québec et au Séminaire de Trois-Rivières, pour passer ensuite à l’Université Laval, en droit et en sciences sociales. ...

Page 30

... Il était ministre des Finances du Québec et il donnait encore des cours à l’Université Laval à la Faculté des sciences sociales. Il trouvait le temps de préparer ses cours, de les donner. Il avait eu un important cabinet d’avocats, Gagnon De Billy. ...

Page 32

... Il avait fait ses études au Séminaire de Québec et à l’Université Laval. Il avait été reçu médecin et a fait une carrière dans la médecine. Il a pratiqué un peu, mais il a surtout été dans l’administration. ...

Page 6

... Elle a étudié le droit à l’Université Laval, au London School of Economics and Political Science et à l’Institut de criminologie de l’Université de Paris où elle a obtenu un doctorat en 1952. ...

Page 12

... Gaston Deschênes, des éditions Septentrion, pour ses conseils et encouragements, Me Sylvio Normand, de la Faculté de droit de l’Université Laval et M. ...

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... Né en 1871, Me Jacobs a fait ses études de droit aux Universités McGill et Laval à Montréal. Il devient avocat en 1894 et s’engage dans plusieurs sociétés juives de bienfaisance de la métropole. ...

Page 9

... Bonne lecture Jean Lefebvre, doyen de la Faculté de pharmacie de l’Université Laval ...

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... Jean Huot (aujourd’hui professeur émérite de l’Université Laval) m’avait appris à faire un herbier. ...

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... C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, à la Faculté de pharmacie de l’Université de Montréal, une contestation bien organisée avait forcé les autorités des deux unités d’enseignement (Montréal et Laval) à se pencher sur la pertinence de leur programme ...