Pêcheur normand, famille métisse

Pêcheur normand, famille métisse

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... Né en 1717 ou 1718, il pourrait être le « Charles Gentil » qui confirme, dans un témoignage à la liberté de mariage fait à Québec le 6 juillet 1757, que François Aubut, de Grande-Rivière, n’est pas déjà marié. ...

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... De son côté, le capitaine Boishébert, qui était retourné à Québec au début de décembre 17583, a reçu de nouvelles instructions du gouverneur Vaudreuil. ...

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... c h a p i t r e x v i  • À la rescousse de Québec (1759) 193 Micmacs de l’Acadie en vue de la défense de Québec. Boishébert part pour l’Acadie le 24 février avec deux officiers et 50 hommes5 de troupe. ...

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... 194 p ê c h e u r n o r m a n d , fa m i l l e m é t i s s e Entre le 17 et le 20 juin, la logistique est aussi organisée pour transporter les miliciens à Québec. ...

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... c h a p i t r e x v i  • À la rescousse de Québec (1759) 195 Le bataillon de miliciens recruté par Boishébert se met finalement en branle pour Québec en passant par la vallée de la Matapédia, un affluent de la Restigouche. ...

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... à l’envoi d’hommes à Québec. ...

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... Après presque trois mois de bombardements quotidiens et une ultime bataille sur les plaines d’Abraham, la ville n’a plus d’autre choix que de capituler le 18 septembre 1759. ...

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... Un désaccord entre les troupes de Bourdon, les réfugiés acadiens et les Micmacs Vers la fin d’août de 1759, les nouvelles que l’on reçoit à Restigouche à propos de la situation à Québec ne sont pas rassurantes. ...

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... c h a p i t r e x v i  • À la rescousse de Québec (1759) 199 le convoi en goélette pour assurer sa protection. ...

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... Voir Jean-Pierre Boyer, Appel à la justice de l’état de Pierre Du Calvet, Québec, Septentrion, 2002, p. 19-20. ...