... Les policiers traquent les membres du Parti ouvrier progressiste du Québec, qui cherchent des tribunes publiques pour clamer l’innocence de Fred Rose. Le Parti se voit interdire tout rassemblement. ...

Peur rouge (La)
... Musée de la police du Service de police de la Ville de Montréal. ...
... Musée de la police du Service de police de la Ville de Montréal. 332. Rapport annuel du service de la police de la Cité de Montréal, 1949. Musée de la police du Service de police de la Ville de Montréal. 333. Lettre de H. ...
... Le jour où le peuple de Québec aura perdu sa foi, c’en sera fait de notre race. ...
... Il n’y a que dans Québec qu’il y a une loi contre la cocaïne véreuse et désastreuse du communisme336. Contrairement à cette affirmation, à Ottawa, certains élus fédéraux partagent les opinions anticommunistes du premier ministre Duplessis. ...
... ., Idéologies au Canada français, 1940-1976, Tome III : Les parties politiques – L’Église, Québec, Presses de l’Université Laval, 1981, p. 157. ...
... La violence atteint son paroxysme le 6 mai 1949 alors que des policiers armés entrent dans la ville, arrêtant les grévistes en utilisant la force. Le même jour, l’acte d’émeute est lu devant des travailleurs qui sont tous arrêtés. ...
... Le gouvernement Duplessis est directement pointé du doigt par ce manifeste qui fait l’effet d’une bombe dans le Québec de l’époque. La fondation de la revue Cité libre en janvier 1950 accélère cette vague d’opposition aux doctrines unionistes. ...
... Cette loi soulève un tollé dans les milieux syndicaux, qui organisent une manifestation à Québec, le 6 février, pour exprimer leur mécontentement. ...
... Dans la même publicité, Duplessis lance cette flèche empoisonnée au chef libéral Georges-Émile Lapalme : « Pourquoi vendez-vous à vils prix les surplus de céréales de l’Ouest aux pays communistes plutôt qu’aux éleveurs du Québec ? » ...