Pitt (Les)

Pitt (Les)

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... La route vers Québec paraissait ouverte. Mais il fallait faire la jonction avec l’armée d’Abercromby et de Howe. ...

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... L’objectif était de prendre Québec ainsi que Montréal. Wolfe fut désigné pour commander l’opération, Amherst étant chargé de sa supervision. Malgré sa jeunesse (il avait trente-deux ans), Wolfe paraissait être l’homme idéal. ...

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... Ce n’est que le 4 juin que l’expédition de Wolfe quitta Louisbourg et se mit en route vers Québec. Le 26, ...

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... Elle était incroyablement hasardeuse : débarquer en amont de la ville, puis escalader les flancs du plateau d’Abraham, situé en arrière de Québec. Mais dans quel but  ? Montcalm était en sécurité derrière les fortifications. ...

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... l’Europe vivra tranquille. » Pour écraser la France, Beckford préconise l’extension de la guerre à des contrées jusqu’ici épargnées. « L’île que j’ai mentionnée n’a qu’une ville fortifiée. ...

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... À son grand étonnement, ces troupes commandées par « des hommes qui n’ont jamais tiré que sur des bécasses » provoquaient un enthousiasme délirant : « Les villes par où ils passent les adorent. ...

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... Le soir, il y a eu, ou du moins il a dû y avoir, des illuminations par toute la ville ; j’y ai fait assez de chemin en carrosse, et je me suis fort bien trouvé d’avoir des flambeaux6. » Un Français établi en Angleterre, l’abbé Langlois, écrivit alors ...

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... Souffrant de la goutte, Pitt s’était retiré depuis l’automne dans sa bonne vieille ville de Bath. En décembre, toujours malade, il ne put participer aux débats parlementaires portant sur les affaires américaines. ...

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... En 1766, il représentait toujours cette ville à la Chambre basse. ...

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... Et, dans le programme de réforme de Pitt, cette ville apparaît sans doute comme le prototype du bourg idéal. Pitt, en effet, ne proposait certainement pas une remise à plat de tout le système. ...