Première École yiddish de Montréal. 1911-1914 (La)

Première École yiddish de Montréal. 1911-1914 (La)

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... J’ai emporté ces projets illusoires avec moi alors que je quittais avec armes et bagages (bemakle vetarmile72) ma chère ville natale en compagnie de mes parents. ...

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... Nous avons voyagé sur la ligne de train Varsovie-Vienne jusqu’à la ville de Sosnovitz75. ...

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... De ma fenêtre du train, la ville au complet m’apparut remplie de lumière et chargée d’un éclat exceptionnel. ...

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... Le soir, je me renseignai au sujet de la bibliothèque sioniste de la ville. Je m’y présentai comme un assoiffé sorti du désert qui découvre une outre remplie d’eau. ...

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... Lorsque mon frère aîné vint nous accueillir à Québec à la descente du bateau, il la remarqua immédiatement et constata que nous nous étions liés d’amitié ­ avec elle. ...

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... Ces derniers s’employ­ ­ èrent à nous dénicher au plus tôt un logement meublé et, somme toute, fort respectable dans cette ville. ...

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... D’un côté, je me réjouissais de me trouver enfin dans ma ville d’adoption. ...

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... Parmi les révisions décisives que nous devons entreprendre à propos de nos méthodes, il serait urgent de proclamer publiquement, une fois pour toutes, que nous n’avons pas honte de notre désir d’habiter les grandes villes et de notre penchant pour la ...

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... J’ai commencé mon adaptation en circulant à Montréal dans les rues du quartier juif et ailleurs dans la ville, sans pouvoir prononcer un seul mot. ...

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... Après tout, les immigrants juifs ne travaillaient-ils pas (trogn tsu zeyer kheylek) à améliorer et à enrichir la ville ? ...