Premiers Juifs d'Amérique, 1760-1860 (Les)

Premiers Juifs d'Amérique, 1760-1860 (Les)

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... c h a p i t r e 1 • l’ a r r i v é e d u p r e m i e r h a rt …     5 5 En juillet 1764, dans une lettre à Thomas Gage, Frederick Haldimand, en poste à Trois-Rivières, indique que « the Group of British merchants » dans cette ville se limite à un Juif ...

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... Il n’est pas très heureux de cette affectation, il aurait préféré Québec ou Montréal, mais James Murray était déjà en poste à Québec et Thomas Gage lui fut préféré pour Montréal. ...

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... Pour un loyer annuel de 300 livres, Hart occupera « une maison et emplacement situé en cette ville, cour, jardin, écurie, circonstances et dépendances ». ...

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... Rappelons que c’est Hugh Finlay qui est maître de poste à Québec. ...

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... Autrement dit, ni le mot ni la réalité n’existent dans la « Province de Québec » d’alors. Les Juifs prennent place parmi les « anciens sujets » et signent les mêmes pétitions. ...

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... Dans la « Province de Québec » de l’époque, le mot juif est très rarement utilisé. Cramahé fait exception. En 1774, les notaires Dillet et Badeaux écrivent « jouïv » ; Aaron lui-même écrit « jue ». ...

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... Je retiens un cas qui met en situation un des premiers Juifs établis au Québec, Samuel Jacobs. ...

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... New York, Québec. ...

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... ., p. 59), comment un habitant pourrait-il au marché de Québec coter le prix de ses denrées en trois monnaies différentes, parfois avariées » ? ...

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... Gage à Montréal et Murray à Québec partagent sa méfiance. Je résume dans le présent ouvrage les déclarations faites par les Canadiens et je présente les sommes en cause (p. 65-66). Ce que j’ignorais, c’est l’importance de la spéculation. ...