... Entre 1795 et 1835, il traite avec une vingtaine de maisons différentes de Londres, Liverpool, Bristol, Glascow, Birmingham, Strourbridge, Wolverhampton et Leeds. Tout est objet de commerce. ...
Premiers Juifs d'Amérique, 1760-1860 (Les)
... Justement, il faut éviter de les traiter comme des étrangers, se méfier des préjugés. Les sœurs avaient prévu « bâtir un fourneau à chau sur l’emplacement désigné ». ...
... Je n’ai pas vraiment d’explications, si ce n’est qu’il évitera toute sa vie d’affronter ou même de traiter avec Mathew Bell, le grand patron des Forges. La demande de Moses tombait à un mauvais moment. ...
... Il réclame que son assaillant « soit appréhendé pour être traité suivant la loi ». Nous avions complété l’examen de la boîte dont le contenu se terminait avec l’année 1827. Au moment du dîner, je prends le temps de consulter mes dossiers. ...
... Il adopte toutefois un ton plus violent que dans son traité : « Une loi inspirée par la bigoterie pour associer l’Église et l’État, pour rendre dominante une institution cruelle, pour empêcher la recherche de la vérité naturelle et pour entraver l’exercice ...
... En 1815, il publiait son traité mentionné précédemment. Ses activités commerciales lui permettaient d’en assurer la distribution. « Nous avons bien reçu cinq autres exemplaires de votre pamphlet. ...
... Son traité était en fait peu provocant, sauf peut-être sa notion de demi-mariage qu’il retirera de l’édition de 1824. Considérant sans doute qu’il avait fait sa part pour assurer la rédemption des siens, il revient les deux pieds sur terre. ...
... La loi de la propriété qui a été votée l’année dernière par le Parlement impérial, est une excellente loi, sauf pour la partie qui a trait à un bureau des biens sans héritiers légaux, qui devrait être modifiée avant d’être appliquée. ...
... Adolphus-Mordecai (1814-1879) est le benjamin de sept enfants vivants. Il est né en 1814 et admis au barreau en 1836. L’archiviste David Rome lui a consacré une biographie dans le Dictionnaire biographique du Canada. ...
... Pour expliquer le choix de l’Angleterre au moment des négociations du traité de Paris de 1763, je retiens le goût du thé sucré. Les Anglais sont prêts à payer le gros prix pour sucrer leur thé. ...