... Ce n’est pas stressant comme en ville. Qu’a-t-on à apprendre des Innus? P. D. : Les Premières Nations du Québec ont développé un mode de pensée lié au territoire; nous, non. ...

Revue Littoral No 13
... Notes 1 Manon Nolin, Ma peau aime le Nord : poésie, Québec, Éditions Hannenorak, 2016, p. 9. 2 Cicéron, Tusculanes, t. ...
... Elle permet également de faire connaître à des non-initiés les littératures autochtones de l’Amérique du Nord, et spécialement du Québec. ...
... Cette pluralité des genres fait écho au caractère plutôt hétéroclite d’une partie de la production littéraire des Premières Nations au Québec. ...
... Cette importance tient également du fait qu’il s’agit de la plus actuelle anthologie de littératures des Premiers Peuples au Québec, ce qui contribue au capital symbolique de la maison. ...
... Son œuvre poétique participe à la réflexion sur l’histoire du Québec à partir d’un point de vue amérindien. ...
... La ville permet la contiguïté de ces deux univers, mais y aurait-il pour autant une ouverture réciproque à leurs différences? ...
... abricots Montréal lève la tête souviens-toi de ton nom Hochelaga […] (« La Cueillette », p. 38) Le renvoi à Hochelaga11, village amérindien auquel Jacques Cartier fait référence dans ses récits de voyage, devenu un lieu emblématique de l’histoire du Québec ...
... Toutefois, le poème entrevoit la possibilité de transformer l’expérience dysphorique de la ville, soit par la disposition intérieure de réinventer un rapport sensible à l’espace en milieu urbain : « Je sirote les cirrus »; soit par l’écriture qui permet ...
... , où elle a vécu jusqu’à l’âge de cinq ans, quand sa famille a quitté la réserve pour aller habiter la ville de Baie-Comeau. ...