... projet : Sophie Imbeault Révision : Solange Deschênes Mise en pages et maquette de la couverture : Pierre-Louis Cauchon Si vous désirez être tenu au courant des publications des ÉDITIONS DU SEPTENTRION vous pouvez nous écrire par courrier, par courriel à sept ...

Sans différends, point d'harmonie
... En effet, sa population a connu un accroissement remarquable au cours de la période, passant de 3 000 habitants en 1693 à 11 500 habitants en 1760, tout en étant un lieu de passage essentiel pour la traite des fourrures et les militaires se dirigeant ...
... En ce qui concerne les archives des justices seigneuriales, leur survol permet de constater que ces dernières sont faméliques en ce qui a trait aux causes criminelles, tant dans la juridiction royale de Montréal que dans celles de Trois-Rivières et de ...
... Ces situations-problèmes d’origine privée et étatique n’avaient pas les mêmes fondements et ne recevaient pas le même traitement, par conséquent il faut les considérer distinctement. ...
... En se concentrant sur le fonctionnement des institutions judiciaires et les litiges enregistrés, ils ont décrit les traits caractéristiques de l’activité judiciaire en Nouvelle-France. ...
... basent présentement la définition du crime et le traitement social qui est réservé aux actes délictueux. ...
... En ce qui concerne les affaires d’infraction aux règlements de police traitées par le tribunal royal de Montréal, les fautes les plus courantes furent commises par les boulangers qui ne respectaient pas le prix ou le poids de vente du pain, ainsi que ...
... qui considère que celles-ci n’ont été traitées par les tribunaux royaux de première instance qu’en raison de l’absence de corps municipaux dans la colonie, institutions qui sur le vieux continent étaient chargées de réprimer les abus commis quotidiennement ...
... pour la plupart similaires à celui qui a été décrit précédemment, créaient une conjoncture dans laquelle les individus n’avaient d’autres choix que d’affronter ouvertement leur rival afin de manifester publiquement qu’ils ne pouvaient souffrir d’être traités ...
... Lors de leur interrogatoire, les deux accusées ont avoué avoir fouetté avec des épines la plaignante pour se venger du fait qu’elle les ait traitées de putains publiques à la suite des reproches qu’elles lui ont faits, car cette dernière n’enfermait pas ...