... . […] Enfin, cette derniere guerre plantera la Paix et les Lys dans toutes nos forests, pour en faire des Villes, si l’on veut, et d’une terre de Sauvages, en faire une terre de Conqueste pour Jesus-Christ28 (RJ, 1661, p. 40-41). ...
tentation de l'épopée dans les Relations des jésuites (La)
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... François Lemercier renoue la même promesse en 1665 : « nos plaintes ont touché le cœur de sa Majesté, qui va faire un Royaume de nostre Barbarie, et changer nos forests en villes, et nos deserts en provinces » (p. 2). 29. ...
... Hormis leur apparence extérieure, les Sauvages n’ont rien d’humain ou presque, et les relateurs se les figurent volontiers sous la peau des espèces les plus viles. ...
... Un peu en amont de Montréal, Jean de Quen signale des rochers « grands comme des villes » (RJ, 1656, p. 9), d’autres « hauts comme des tours » (RJ, 1656, p. 37) et « épouvantables à voir, tant pour leur hauteur que pour leur grosseur » (RJ, 1656, p. 38 ...
... Fustigeant avec véhémence les « superstitions » et traditions « barbares », ils veulent fonder une société à la française et défricher les « forests, pour en faire des Villes » (RJ, 1661, p. 40). ...
... Jésuites et Amérindiens nomades en Nouvelle-France 1632-1642, Québec, Nuit blanche éditeur, 1990, p. 38. 4. Le Pays renversé. Améridiens et Européens en Amérique du nord-est (16001664), Montréal, Éditions du Boréal, 1991, p. 237. 5. ...
... ’ 1649, aux habitants de Québec : « Le 20. la nuict arriverent les tristes nouvelles de la destruction des Hurons, & du martyre des 3. Peres » (JJ, p. 128)16. ...
... Si le diariste corrobore ces faits, des différences appréciables opposent sa version de l’échauffourée de Québec à celle du chroniqueur. ...
... dramatisent et renforcent sa signification allégorique : une personne de probité et d’une vie irreprochable […] vit en esprit, le soir mesme que ce Tremble-terre commença, quatre spectres effroyables qui occupaient les quatre costez des terres voisines de Quebec ...
... Il ne fait aucun doute aux yeux de Léon Pouliot que ces notes rédigées à la hâte devaient rester privées : dans un registre, « le Supérieur de Québec inscrivait les principaux événements, les allées et venues des missionnaires et les détails d’ordre pratique ...