... Le Globe and Mail publie en page éditoriale une grande caricature du général de Gaulle, en rappelant son « Vive le Québec libre ». ...
Trudeau et ses mesures de guerre
... L’armée commence l’occupation de Montréal et, plus généralement, celle du Québec. Elle a été appelée à la demande expresse de Robert Bourassa. Ce dernier en informe l’Assemblée nationale, qui ajourne ses travaux au 10 novembre. 1970. Le 15 octobre. ...
... 20 trude au et ses mesur es de guer r e de bombes et à peu près 2 000 livres de dynamite, ce qui est suffisant pour faire sauter le cœur de la ville de Montréal. » 1970. Le 18 octobre. ...
... Le Winnipeg Free Press, dans son éditorial du jour, écrit en substance : « Le Québec ne saurait songer à se séparer sans obtenir l’accord préalable de l’ensemble du Canada. ...
... Tommy Douglas : « Je ne souhaite pas que le Québec sorte de la Confédération, mais je refuse qu’on verse la moindre goutte de sang pour le retenir. » 1970. R. MacGregor Dawson : « Un octroi de pouvoir si absolu. » 1970. ...
... traitent respectivement du caractère intrinsèquement centralisateur de la loi des mesures de guerre, de la façon dont les fonctionnaires du cabinet du premier ministre Trudeau concevaient la « guerre psychologique » qu’ils étaient en train de mener au Québec ...
... 26 trude au et ses mesur es de guer r e progressivement apparue très féconde pour saisir la signification réelle de ce qui s’est passé au Québec en octobre 1970. ...
... Suprême ironie : pour un peu, on croirait que le Québec s’est séparé du Canada. Vision tronquée, s’il en est. Car il y avait, juste à côté, un Canada anglais avec ses réactions, son opinion, son gouvernement, son État, son armée. ...
... es de guer r e sinon se consoler, relativiser, en se disant qu’à l’époque la violence n’était pas rare : tout à côté, aux États-Unis, quatre hauts personnages politiques avaient été assassinés entre 1963 et 1968, et des quartiers entiers de grandes villes ...
... (FLQ) choisit pour cibles le monument de Wolfe à Québec (jeté à terre dans la nuit du 29 mars 1963) et diverses autres marques de la domination britannique sur le Québec, ces idées ne cesseraient de déplaire au Canada anglais, car elles venaient heurter ...