Une histoire des carrières de Montréal

Une histoire des carrières de Montréal

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... 2 • Les carrières de Côte Saint-Louis, 1871-1891 65 La carrière louée par Cyrille Lajoie Examinons maintenant un dernier bail de carrière. ...

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... 2 • Les carrières de Côte Saint-Louis, 1871-1891 67 entretien. À chaque passage, elle exige un péage qui varie selon une grille complexe comprenant le type de véhicule, le nombre d’essieux, la largeur des roues, etc. ...

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... Les lettres patentes de l’entreprise indiquent clairement son orientation : « De faire en général les affaires de carrière et préparer la pierre à bâtir25. » Ambitieuse, l’entreprise conclut d’importantes transactions afin de démarrer plus d’un site d ...

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... Bien que l’on compte plusieurs familles Limoges à Côte Saint-Michel, il est natif de Saint-Léonard de Port-Maurice ; voir « Feu Oliviers Limoges », La Presse, 16 mars 1920, p. 2. 37.  ...

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... Tous vivent en famille et les recensements à leur domicile permettent d’entrevoir leur vie familiale. ...

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... Dix ans plus tard, deux enfants s’ajoutent à la famille alors que Dulong travaille dix mois et déclare toujours le même salaire. ...

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... Ce n’est qu’en décembre 1910 que la famille termine les paiements du terrain (150 $) et devient officiellement propriétaire du 3526, rue Saint-Hubert. ...

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... Pour des raisons qui m’échappent, la famille vend le duplex en 191945 et emménage tout près comme locataire, au 3512 SaintHubert. ...

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... De nouvelles lettres patentes révèlent que l’entreprise, dotée d’un capital-actions de 50 000 $, est maintenant la propriété de cinq actionnaires dirigés par deux entrepreneurs, Patrick Dickson et John Quinlan50. ...

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... L’histoire des carrières de Montréal ne peut faire abstraction de la contribution de Joseph Onésime et de sa famille. ...