... Chargée de projet : Sophie Imbeault Révision : Julie Veillet et Solange Deschênes Numérisation et traitement des photos : Michel Lafortune, photographe Conception cartographique : JLC géomatique Mise en pages : Pierre-Louis Cauchon Maquette de couverture ...

Vie dans les camps de bûcherons au temps de la pitoune. Deuxième édition (La)
... En 1910, par exemple, Alexandre Beaudoin et sa femme, Célina Beaulieu, quittèrent le rang de la Seigneurie à SainteÉmélie-de-l’Énergie pour aller s’établir à Lowell, au Massachusetts, avec leurs sept enfants. Ils s’étaient mariés en 1893. ...
... Il travaillait sept jours par semaine et était payé à la journée. On le voyait partout. On l’entendait crier le matin, à 6 h « : Lève », puis à l’heure des repas ! : « Lunch ! ...
... Ce dernier « talait », en réalité, il faisait des séries de traits pour les différentes grosseurs de pitoune. L’autre enlevait la neige avec un balai. Le soir venu, le mesureur remettait une copie du mesurage aux bûcherons. ...
... En 1946, Colette gagnait 2 $ par jour, soit 60 $ par mois, à travailler seize heures par jour, sept jours par semaine. Les salaires augmentaient rapidement. ...
... Ce voyage de sept cordes de pitounes a été possible dans des conditions idéales. Le rack mesurait 24 pieds de longueur. C’était au camp de Léo Beaudry, qui jobbait pour la compagnie McLaren, en haut de Mont-Laurier. 88 ...
... Roger s’est toujours consisouvenir. déré comme bien traité, voire choyé. Vers 1960, la Consolidated Paper Corporation rapatriait tous ses hommes pour les regrouper dans deux grands camps, à Casey et à Saint-Michel-des-Saints. ...
... Les anciens avaient bien identifié les sept chutes, dont les six premières sont situées sur le territoire de Sainte-Émélie-del’Énergie. ...
... la glace à l’endroit prévu pour y déposer le bois Soupane : bouillie de farine d’avoine Stringer : grand billot parallèle à la route Sweep : en foresterie, ramassage de toutes les pitounes et les billots sur les bords de la rivière Taler : noter un trait ...