Vie musicale à Trois-Rivières, 1920-1960 (La)

Vie musicale à Trois-Rivières, 1920-1960 (La)

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... Jusqu’en 1928, la quasi-totalité des concerts professionnels est présentée à la salle publique de l’hôtel de ville, qui ne peut contenir que 400 sièges113. ...

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... Les petites dimensions de la salle de l’hôtel de ville, la seule disponible jusqu’en 1928, et la dépense importante que représente l’achat de billets de concert limitent la diffusion et l’accès à la musique sérieuse. ...

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... Pour en acquérir une, les musiciens doivent quitter la ville, à l’exemple de Jean-Yves Landry qui, après des études musicales de base à l’Académie De La Salle, acquiert sa formation au Conservatoire de musique du Québec à Montréal (1946-1947), au Chicago ...

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... Il travaille aussi hors de la ville, notamment comme juge pour les Prix d’Europe120. ...

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... La Philharmonie De La Salle et une chorale de 700 voix composée de presque tous les chantres de la ville apportent une touche musicale aux « pageants » historiques présentés à cette occasion. ...

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... Odette Vincent, La vie musicale au Québec : art lyrique, musique classique et contemporaine, Sainte-Foy, Éditions de l’IQRC, 2000, p. 156. ...

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... Arrivé dans la ville en 1932 à la suite de son embauche comme organiste à la cathédrale, Bernard Piché détient aussi une formation supérieure sanctionnée par l’Académie de musique du Québec (1929), qu’il complétera par des études au Conservatoire de Bruxelles ...

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... Des concerts éducatifs pour la jeunesse sont aussi organisés en 1936 à Québec par le Cercle Philharmonique de cette ville. Bertrand Guay, Un siècle de symphonie à Québec, Sillery, Septentrion, 2002, 164 p. 3. ...

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... Source : BAnQ, Centre d’archives de la Mauricie et du Centre-du-Québec, Fonds Anaïs Allard-Rousseau (P16). ...

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... À cette époque, ce phénomène est observable dans la plupart des petites et moyennes villes du continent. ...