Voyage au Canada dans le nord de l'Amérique septentrionale fait depuis l'an 1751 à 1761 par J. C. B.

Voyage au Canada dans le nord de l'Amérique septentrionale fait depuis l'an 1751 à 1761 par J. C. B.

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... Rappelons aussi que sur le « Certificat » relatif aux prisonniers, cent sept soldats français et dix officiers (nommément identifiés) devaient « étre libres à leur Arrivée en France » (Angleterre, War Office 34, vol. 74, fo 14-14v). 158.  ...

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... B. rapporte suffisamment de faits exacts pour nous porter à penser qu’il a bel et bien été le canonnier-bombardier qu’il dit avoir été et qu’il a bel et bien participé aux opérations militaires françaises dans l’Ouest au cours de la guerre de Sept Ans ...

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... B. écrit au sujet des « démangeaisons dans la tête [des écureuils] surtout dans les mois de juillet et août […] qui les obligent à se jeter à l’eau pour se rafraîchir, jusqu’à deux ou trois fois par jour, au nombre de sept à huit cents et quelquefois ...

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... des observations qu’on ne trouve ni dans leurs textes ni dans les écrits de l’époque : distance de quatre à cinq pouces entre les platesbandes, nombre de barres de traverse (cinq), longueur des canots (douze à vingt pieds ou plus), largeur de ceux-ci (sept ...

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... Ces renseignements proviennent de l’ouvrage de Jacob Nicolas Moreau : en 1750, écrit celui-ci, le Marquis de la Jonquière fut obligé d’envoyer de nouveau différens détachemens […] on crut devoir arrêter quatre traiteurs Anglois qui continuoient le commerce ...

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... produit proviennent vraisemblablement de l’ouvrage de Jacob Nicolas Moreau : « le Général Braddock, après avoir passé les derniers jours de mai à Frédérictown, arriva le 10 mai au fort de Cumberland, & le reste de l’armée s’y rendit le 17, après vingt-sept ...

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... Le 23 août, à sept heures du matin, on sonde à nouveau (­quarante-sept brasses). On met alors le navire en travers, c’est-à-dire un côté du navire perpendiculaire au vent, et on jette des lignes à la mer afin de pêcher et de rafraîchir l’équipage. ...

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... B. explique : « Arriver au grand banc, cela s’appelle en terme de la mer banquer ; en sortir c’est débanquer. »] « Ce fut un Vendredi, seizième d’Août, à sept heures du soir, que nous nous trouvâmes sur le Grand Banc, par soixante & quinze Brasses d’ ...

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... La Côte court de-là cent lieues à l’Ouest, prenant un peu du Nord, & se termine au Cap de Raye, qui est par les quarante-sept dégrez. Presque à moitié chemin est la Grande Baye de Plaisance, qui forme un des plus beaux Ports de l’Amérique. ...

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... capitaine St-Pierre commandant au fort de la Presqu’île, pour lui annoncer qu’il avait eu la visite d’un officier anglais porteur d’une sommation portant injonction aux Français d’évacuer ce poste et toutes les terres neutres qui n’étaient que pour la traite ...