... Or, tout le monde sait, au Québec, qu’il y a dans ce sobriquet une idée de médiocrité, de petitesse. ...

Histoires de mots solites et insolites
... Au Québec, on appelle traînerie un objet qui traîne ou qui n’est pas à sa place, une chose laissée à l’abandon. ...
... 302 v • mots rapaillés et expressions du français québécois Ainsi la déclaration ta mère est assez belle ! signifie, au Québec, « très, tellement belle » (et non « passablement belle »). ...
... Bout (de temps) et secousse : une question de temps Au Québec, on parle souvent d’un bout de temps et d’une secousse (« période de temps »). ...
... 304 v • mots rapaillés et expressions du français québécois L’expression d’origine dialectale un bout de temps, bien qu’elle soit encore en usage en France ou ailleurs, est surtout usuelle au Québec, où on l’entend très souvent. ...
... Au Québec, enfarger (quelqu’un) signifie « faire tomber, faire trébucher », et la forme pronominale s’enfarger a le sens de « s’accrocher, trébucher ». ...
... Au lieu de l’« anglicisme » shopping, répandu dans l’usage depuis le début du xxe siècle en France, on emploie au Québec le terme magasinage (début du xxe), dérivé du verbe magasiner (fin du xixe), « faire des courses, courir les magasins ». ...
... Voir, par exemple, le Multidictionnaire de la langue française de Marie-Éva de Villers, Québec Amérique, 1998. ...
... Le mot partisanerie (parfois écrit partisannerie), dérivé de partisan, n’est pratiquement en usage qu’au Québec où on l’entend très fréquemment. ...
... Au Québec, où cette locution est également en usage, on emploie aussi l’expression graisser (quelqu’un), « acheter, corrompre, offrir un pot-de-vin, une enveloppe, soudoyer » : graisser un député, un fonctionnaire, un maire, un juge. ...