... À la ville, on n’ignore pas non plus cette méthode. Les jardiniers des autorités du pays et des communautés religieuses y ont aussi recours. ...

Jardins et jardiniers laurentiens, 1660-1800
... Cette propriété de l’homme d’affaires, éducateur et protonotaire Joseph-François Perreault, située dans la banlieue de Québec, reflète bien l’influence du courant romantique venu d’Angleterre au tournant des XVIIIe et XIXe siècles. ...
... Même si les serres étaient bien connues des Français au XVIIIe siècle, il ne semble pas que les représentants du roi à Québec ou à Montréal en aient fait usage durant le Régime français. ...
... Robert Hunter Jr., Quebec to Carolina in 1785-1786, op. cit., p. 21 ; B. Dufebvre, Cinq femmes et nous, Québec, Belisle éditeur, 1950, p. 45. ...
... Dans les environs de Paris entre le XVIe et le XVIIIe siècle, c’est surtout la gadoue, c’est-à-dire les immondices de la ville, qui vient enrichir les jardins maraîchers. ...
... James Pattison Cockburn, Rue du Sault au matelot à Québec, BAC, no d’accès 1970-188-312. Collection d’œuvres canadiennes de W.H. Coverdale, Mikan 2896826. ...
... Enfin, le fumier que l’on dit provenir de la ville est fort probablement un mélange de déjections animales, principalement de chevaux, de poules et de cochons, les animaux les plus fréquents en milieu urbain. ...
... La plupart de ces institutions sont situées en ville et emploient de nombreux ouvriers, qu’ils soient domestiques, journaliers ou jardiniers. ...
... En procédant de cette façon, les jardiniers de l’Hôtel-Dieu de Québec procuraient aux malades un régime relativement équilibré durant l’hiver, selon les dires de l’historien François Rousseau. ...
... De telles sécheresses ne sont pas des exceptions, Pehr Kalm en fait mention pour la région de Québec en 1749, non plus les invasions de sauterelles ou de chenilles qui, selon l’intendant Hocquart, seraient fréquentes62. ...