... En 1750, cette dernière comprend 24 bœufs de trait, 28 vaches à lait, 4 chevaux, 49 moutons, 9 cochons, 4 taures d’un an, 9 veaux de l’année, des poules et des oies31. ...

Jardins et jardiniers laurentiens, 1660-1800
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... De plus, comme l’auteur a couvert un immense territoire qui s’étend de Sept-Îles au pays des « Cinq Nations hiroquoises » au sud du lac Ontario et à ce qu’il nomme sa Virginie, au sud du lac Érié13, on ignore trop souvent l’endroit où l’auteur a repéré ...
... Au XVIIe siècle, le pois des champs se distingue de celui des jardins et vers le milieu du siècle, le jardinier et agronome La Quintinie, en distingue déjà sept types selon la forme, la couleur et les dimensions26. 26. ...
... Il est rare qu’ils puissent cuire, on en achète ordinairement pour (les cuire) en octobre et en novembre à la Longue Pointe, cette paroisse passe pour fournir les meilleurs ; six à sept minots suffisent ordinairement pour l’année29 ». 27. ...
... Le céleri La première surprise a trait au céleri. Champlain et Boucher sont muets à son sujet et Kalm, près d’un siècle plus tard, n’en parle même pas. ...
... On ignore trop souvent qu’il peut s’écouler de sept à dix ans entre la germination des graines à l’automne et la plante comestible. ...
... Les productions locales 177 Dès la fin du XVe siècle, le Ménagier de Paris, un traité d’économie domestique très populaire et bien illustré, parle de racines rouges vendues aux Halles ; au début du XVIIe siècle, Olivier de Serres fait l’essai dans ...
... Autour des principaux postes de traite et des forts, il n’est donc pas rare de trouver un petit potager bien clôturé, et à plus forte raison s’il s’agit de s’y établir pour longtemps. ...
... Dans l’ensemble, toutefois, rares sont ceux qui ont accès aux animaux de trait. ...
... Les bailleurs, dans le cas des grands jardins, fournissent généralement l’équipement nécessaire : fumier, cheval de trait avec son attelage, charrette ou tombereau53. ...