Jardins et jardiniers laurentiens, 1660-1800

Jardins et jardiniers laurentiens, 1660-1800

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... On érige des murs d’environ sept pieds au-dessus du sol ainsi qu’un solide plafond et on recouvre de tourbe. La porte s’ouvre toujours vers le sud. Dans ces caves, il ne gèle jamais puisqu’on est sous le sol. ...

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... Voir l’exemple d’un maître traiteur à un maître serrurier, greffe de Lepailleur de Laferté, 21 mai 1716. ...

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... Dans les forts et les postes de traite, les jardins potagers sont considérés comme une nécessité, tout autant que dans la vallée du Saint-Laurent. ...

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... Partout en Amérique du Nord, les potagers font partie intégrante des établissements militaires et des postes de traite, pour peu qu’ils soient en fonction pendant plus d’une année. ...

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... La première a trait à l’utilisation des légumes. La coutume voulait qu’au XVIIe siècle, la plupart des légumes soient convertis en « green sauce » durant l’été. ...

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... Elle en concluait que sur les « soixante années du Régime français, les recettes ne dépassent les dépenses qu’à sept reprises », et que pour le reste du siècle, l’excédent des recettes sur les dépenses est quasi constant, rarement toutefois pour plus ...

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... ., Combattre pour la France en Amérique : les soldats de la guerre de Sept Ans en Nouvelle-France, 1755-1760, Montréal, Société généalogique canadienne-française, 2009, 634 p.  ...

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... Quellier, Florent. « Le jardin fruitier-potager, lieu d’élection de la sécurité alimentaire à l’époque moderne », dans Revue d’histoire moderne et contemporaine, vol. 51, no 3 (juillet-sept. 2004), p. 66-78. Quellier, Florent. La table des Français. ...