Jardins et jardiniers laurentiens, 1660-1800

Jardins et jardiniers laurentiens, 1660-1800

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... Ceux de Québec s’inscrivent dans la tradition des ...

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... Henry Hiché, bien connu comme notaire royal et conseiller au Conseil supérieur de Québec, s’est aussi avéré un spéculateur averti en acquérant vers les années 1730 la « maison blanche », ancien domaine d’Aubert de La Chesnaye, un beau et grand terrain ...

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... Antoine Juchereau Duchesnay, seigneur de Beauport, avait aussi une résidence dans la ville de Québec où se rendait son ouvrier pour écouler les produits de sa ferme et de son potager. ...

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... En plus de ses affaires commerciales, Cartier s’adonne à la spéculation foncière en accumulant maisons et emplacements en ville, et 3. ...

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... À cette fin, il fournit à son engagé un cheval et une charrette pour transporter jardinage et foin à la ville où il lui offre aussi une chambre dans sa demeure. ...

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... Durant le temps fort de son développement, le premier quart du XVIIIe siècle, alors que la ville connaît un vague d’investissements immobiliers, les ...

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... ., p. 167 et 169 ; Yvon Desloges, Une ville de locataires. Québec au XVIIIe siècle, op. cit. 6. Les informations sur les familles viennent toutes du DBC et de l’Aveu et dénombrement de 1731. ...

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... L’aveu de 1781 lui accorde deux maisons en pierre à deux étages en ville, une autre avec jardin dans le faubourg Saint-Joseph et trois vergers dans le faubourg Saint-Laurent où il est également un des promoteurs les plus actifs. ...

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... Selon le recensement de 1731, il n’y aurait aucun terrain entièrement transformé en jardin10, mais certains plans de la ville, notamment celui de l’ingénieur 9. Recensement de 1781, p. 22, 42 et 51. ...

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... Il faut attendre encore une vingtaine d’années pour assister à un réel développement de ces deux extensions de la ville. ...