... À l’issue du procès, leurs coaccusés masculins furent condamnés à la pendaison, alors que Daragon, Ondoyer et Venne furent fustigées aux carrefours de la ville et enfermées durant trois ans à l’Hôpital général69. ...

Sans différends, point d'harmonie
... Lettre de Hocquart au ministre signalant les arrêts qui ont été rendus par le Conseil supérieur en matière criminelle depuis l’année dernière (1735), 1er octobre 1735, Québec, BAC, Fonds des colonies, Série C11A, vol. 64, folios 12-17v. 73. ...
... Trois ans après les faits, ladite Vinaigre revint en ville et grand mal lui en prit. Elle fut reconnue et mise en prison. ...
... Pour assurer l’instruction de leur cause, ils devaient donc assumer personnellement les coûts d’un voyage à Québec ou être en mesure d’employer un praticien compétent habitant cette ville, sans pour autant être assurés de gagner leur procès. ...
... Toutes les sentences de ce type prononcées par le tribunal royal de Montréal se sont retrouvées devant le Conseil souverain de Québec. ...
... André Vachon, L’administration de la Nouvelle-France, 16271760, Québec, PUL, 1970, p. 65. 100. ...
... Ordonnance de l’intendant Jacques Raudot qui fait défense à toute personne de la ville de Montréal de donner de l’eau-de-vie aux sauvages, 3 juin 1707, BANQ, Fonds des ordonnances des intendants, E1, S1, P237. 106. John A. ...
... fut au corps de garde prendre un sergent et six soldats pour aller hors de la ville prendre une femme qu’on avoit accusé d’avoir vendu de l’eau de vie à un sauvage qui venoit de poignarder un soldat, cette femme qui etoit grosse se blessa, l’huissier ...
... paroles désobligeantes qui auraient été prononcées de part et d’autre, l’auteur indique qu’à la suite du décès de la victime : le chirurgien major de la mesme ville [Montréal], qui lauroit pensé, ayant fait son rapport et ordonné son certificat portant ...
... Ils se rendaient de leur propre chef dans les prisons de Québec où siégeait le Conseil souverain144. ...