Jean Vadeboncoeur et Cie

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... Dernières formalités Parue au cours du dernier trimestre de 1934 afin de célébrer le 400e anniversaire de la « découverte » du Canada par Jacques Cartier, il s’en fallut de peu que même cette première édition du Vadeboncœur ne soit publiée à titre posthume ...

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... Un troisième fils, François, était menuisier ; le suivant, Alfred, ne songeait pas à quitter la terre ; Jacques travaillait en ville, dans un atelier de mécanicien, et suivait des cours techniques donnés le soir ; enfin, Jean, au sortir de la petite école ...

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... C’est aussi une région lacustre, où prennent leur source plusieurs cours d’eau, dont la Montmorency, la Sainte-Anne, la Pikauba, la Jacques-Cartier, les rivières du Gouffre, de la Malbaie, à Mars, des Écorces, des Ha ! Ha ! M.  ...

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Légendes d'un peuple, tome VII

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... C’est Jacques Cartier et son équipage qui sont en mission de reconnaissance pour le compte du roi de France, François 1er. ...

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... Premier contact De ce premier contact avec Donnacona et les siens, Jacques Cartier raconte dans son journal : […] en ce 25e jour du mois [juillet] nous vint grand nombre de sauvages, qui étaient venus en la rivière pour pêcher le maquereau. ...

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... Louis-Jacques Dorais, dans l’introduction de Je voudrais que les Inuit soient libre à nouveau nous raconte : Taamusi Qumaq est né dans un camp de chasse aux environs d’Inukjuak sur la côte québécoise de la baie d’Hudson, en pleine Première Guerre mondiale ...

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Construction du droit des Autochtones par la Cour suprême du Canada (La)

Page 27

... 1. 1534 et 1608 ou les débuts de la Nouvelle-France Jacques Cartier, un marin français mandaté par le roi de France pour découvrir de nouveaux territoires, est arrivé à Gaspé en juillet 1534. ...

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... Jacques Cartier fit trois voyages au Canada jusqu’au début des années 1540 sans que cela entraîne des installations permanentes. ...

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... Les frères Sioui, des Hurons de la réserve indienne de Lorette près de Québec, avaient campé et fait des feux de camp dans le parc de la Jacques-Cartier malgré une interdiction. Ils avaient coupé des branches, ce qui était aussi prohibé. ...

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Docteurs, guérisseurs et fossoyeurs

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... Au cours de l’hiver de 1535, l’équipage de Jacques Cartier est décimé par le scorbut. ...

Page 49

... En 1845, l’État a fait appel au docteur Douglas et à deux autres médecins de Québec, Charles-Jacques Frémont et Joseph Morrin, pour fonder le premier asile d’aliénés de Québec  l’Asile provisoire de : Beauport. ...

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... En consultant l’annuaire et les annonces dans les journaux, vous trouverez par exemple les adresses des docteurs Charles-Jacques Frémont et James Sewell, médecins et chirurgiens, qui résident ici même sur la rue Sainte-Ursule, ainsi que les docteurs A ...

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Blessures de guerre

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... chapitre 14 « C’est le monde qui s’écroule » L es docteurs sonya jacques et édouard auger ont 255 « dossiers actifs ». ...

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... Sonya Jacques dit : « S’ils n’entendent pas parler de la clinique par leurs proches ou leur médecin, ils ne savent même pas qu’elle existe. ...

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... Avec sa collègue Sonya Jacques, il a plus de 250 patients libérés des Forces armées à cause des traumatismes. Photo : Steve Deschênes, Le Soleil. ...

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De Sikniktuk à Kent

Page 31

... Jacques Paul Couturier et Wendy Johnston, « L’État, les familles et l’obligation scolaire au Nouveau-Brunswick dans les années 1940 », Histoire sociale / Social History, 35, no 69 (2002) : 1-34. ...

Page 47

... Jean-Roch Cyr, « La colonisation dans le nord du NouveauBrunswick durant la crise économique des années 30 », dans Jacques Paul Couturier et Phyllis LeBlanc, dir., Économie et société en Acadie, 1850-1950 (Moncton : Éditions d’Acadie, 1996), 102. 126. ...

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... C’est là où il est recruté par l’Ordre de Jacques-Cartier (OJC, la « Patente »). ...

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Une race d'étrangers

Page 25

... Du point de vue franco-américain, cette époque lointaine commence avec Jacques Cartier, qui remonte le fleuve Saint-Laurent au nom de la France en 1534. Il entreprend ensuite deux voyages en Amérique du Nord. ...

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... Pour une histoire générale du Québec, voir Jacques Lacoursière et Robin Philpot, A People’s History of Quebec, Montréal, Baraka Books, 2009. Pour une perspective anglophone, voir John Dickinson et Brian Young, op. cit. ...

Page 57

... Jacques M. Downs, « American Merchants and the China Opium Trade, 18001840 », Business History Review, vol. 42, no 4, hiver 1968, p. 421. 41.  Lewy, « America enters the Chinese Trade ». ...

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Peur rouge (La)

Page 11

... Serge Berstein et Jean-Jacques Becker, Histoire de l’anticommunisme en France, Paris, Olivier Orban, 1987, p. 9. 4.  Dominique Lejeune, La Peur du « rouge » en France, Paris, Belin éditeur, 2003, 295 p. ...

Page 166

... Cité dans Jacques Lacoursière, Histoire populaire du Québec, 1896 à 1960, Sillery, Septentrion, 1997, p. 341. 314.  ...

Page 186

... Il prend pour cible RadioCanada, Le  Devoir, la revue Cité libre, créée sur le modèle de la revue Esprit, autour de personnalités comme Pierre Dansereau, André Laurendeau, Jacques Hébert, Gérard Pelletier et Pierre Elliott Trudeau. ...

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Boréal Express 1810-1841 (Le)

Page 6

... Direction : Gilles Boulet, Jacques Lacoursière et Denis Vaugeois. Rédaction : Hélène Bousquet, Jacques Lacoursière, Jean Provencher et Denis Vaugeois. ...

Page 7

... En la relisant, je redécouvre l’influence de Jacques Lacoursière dans son explication de la recette du journal. ...

Page 8

... Jacques Lacoursière lui-même, fils d’imprimeur, était un as pour établir la grosseur des caractères en fonction de la longueur d’un texte et de l’espace attribué. ...

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Journal de voyage en Europe, 1837-1838

Page 74

... André-Marie-Jean-Jacques Dupin, dit Dupin aîné (17831865), avocat, libéral, défenseur de Béranger, adversaire de Thiers. Président de la Chambre sous Louis-Philippe. 83. Félix Barthe (1795-1863), garde des sceaux et ministre de la Justice. 74 ...

Page 78

... Sans doute un parent de Jacques Laffitte (1767-1844). Ce dernier, né à Bayonne, est élu député du 6e arrondissement de 78 ...

Page 79

... Par un appel à la commandite, Jacques Laffitte venait de créer en 1837 à Paris une caisse d’escompte au capital de 20 millions, pour venir en aide au commerce et à l’industrie. 91. ...

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