Nos livres font parler d'eux

Promenade en Enfer

« Il faut saluer le plaisir évident de l'autrice et du Septentrion à agrémenter le propos d'une iconographie riche et éloquente, où les photos actuelles des voûtes archivistiques répondent aux images anciennes de la première Université Laval; où vieux tableaux et gravures abondent pour illustrer des vignettes éclairantes... »

Marie-Ève Sévigny, Lettres québécoises

« Les Ennemis français de la race anglaise »

« François Deschamps participe du renouvellement de l'historiographie politique canadienne du XIXe siècle, plus particulièrement celle de la période de l'Acte d'Union. »

Joshua Ménard-Suarez, Les Cahiers de lecture de L’Action nationale

Wake up mes bons amis!

«L'ouvrage de Bureau Meunier, émaillé de citations colorées tirées des films de Perrault, se lit bien. [...] l'auteur nous plonge efficacement dans cette époque qui en a peut-être plus à nous apprendre qu'on ne veut bien se l'avouer. »

François Lavallée, Nuit blanche

Trudeau et ses mesures de guerre

« C'est un livre puissant, dérangeant, mais aussi révélateur sur le Canada, les Canadiens, leurs mentalités, les disparités dans l'opinion publique et sur le fonctionnement de nos institutions fédérales. »

Yves Laberge, Cap-aux-Diamants

Infographies.quebec

« l’ensemble atteste d’un travail colossal »

René Tessier, Pastorale Québec

Site archéologique du palais de l'intendant à Québec (Le)

« Abondamment illustré, ce nouvel ouvrage de Septentrion présente l’histoire du site et des fouilles archéologiques menées jusqu’ici. Il met en lumière l’apport des archéologues, mais aussi des restaurateurs, des historiens et des divers spécialistes qui ont collaboré aux recherches. »

Mattheu Dessureault, Le Fil

Site archéologique du palais de l'intendant à Québec (Le)

« De nombreux croquis et photographies permettent de se faire bonne idée de ce que fut Québec au temps de la Nouvelle France et aux siècles suivant. Une façon originale de (re)découvrir l’histoire de Québec. »

Christiane Peyronnard, La Cliothèque

Canada-Québec

« Ce livre raconte tout ce que vous voulez savoir sur l'histoire du Québec ou du Canada; ce qu'on ne vous a pas enseigné ou ce que vous avez oublié. Cet ouvrage se présente comme une source exceptionnelle d'informations. Sa structure chronologique et son index complet, le tout écrit dans une langue claire et précise, font de lui un précieux outil de référence. À posséder dans sa bibliothèque. »

Marie-Andrée Brière, Revue Héritage

« Les Ennemis français de la race anglaise »

« Ces lettres nous révèlent un radicalisme souvent ignoré de la société québécoise des années 1830. À lire pour mieux comprendre notre société.»

Marie-Andrée Brière, Revue Héritage

Presse canadienne-française et l’extrême droite européenne (La)

« Théorêt apporte ici un nouvel éclairage en établissant une parenté d’opinions sur cette instrumentalisation du «péril rouge» au sein des discours de l’extrême droite européenne et des salles de nouvelles de la province. Par-delà cet enjeu, l’un des apports importants de cet ouvrage est d’attirer notre attention sur l’importance, bien que difficilement quantifiable, que revêt la question des relations internationales dans le dispositif médiatique québécois de l’entre-deux-guerres, malgré le fait, ironiquement, que cette question demeure secondaire pour le chercheur. »

Maxime Trottier, Bulletin d'histoire politique

Promenade en Enfer

« une plume alerte [...] Cette minutieuse enquête éclaire le rôle de la censure punitive et de ses institutions en Europe et au Québec. Elle constitue par ailleurs une singulière contribution à l'histoire du livre mis à l'Index [...] Elle devrait trouver sa place aux côtés des études d'historiens tels Alberto Manguel, Roger Chartier ou Pierre Hébert dont elle suit si bien les traces. »

Sébastien Vincent, Le Devoir

Courtiers et entrepreneurs

«Dans Courtiers et entrepreneurs, premier ouvrage important qui traite du « courtage financier au Québec, 1867-1987 », l’historien Marc Vallières montre que Louis-Joseph Forget (1853-1911) et son neveu Rodolphe Forget (1861-1919), tous deux nés à Terrebonne, inaugurent par le commerce des valeurs mobilières la présence des Canadiens français dans l’organisation, les fusions et la direction des grandes entreprises. Ils rivalisent même avec leurs concurrents anglo-écossais à la Bourse de Montréal.»

Michel Lapierre, Le Devoir