Nos livres font parler d'eux

Passion Japon

Passion Japon est un livre fascinant. Ce qu'on y apprend est incroyable. Valérie Harvey nous donne le goût de sauter dans le premier avion pour le Japon.

Daniel Rolland, Culture Hebdo.com

J'écris parce que je chante mal

Tantôt drôles, tantôt touchantes, tantôt attendrissantes, ces petites tranches de vie nous font réaliser à quel point c'est le regard que l'on porte sur la vie qui la fait si attachante. Et si on s'offrait le luxe de voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide... Tout est finalement une question de perspective !

Pierre Turbis, FM 103,3 (Longueuil)

J'écris parce que je chante mal

Dans la foulée des mères indignes et des taxis la nuit, ce jeune prof et (jeune) papa est aussi un observateur vigilant. On appelle ça un écrivain quand en plus il sait raconter. Heureusement qu'il le fait d'ailleurs. Ses billets et sa douce ironie, réunis sous cette jaquette rouge, séduisent même ceux qui sont allergiques au genre.

Josée Blanchette, Le Devoir

Étienne Chartier

Une page de notre histoire écrite brillamment par Gilles Boileau.

Suzanne Ferland, CTB-TV

Bacchus en Canada

Un document touffu, bourré de références sur la consommation de boissons alcooliques de nos ancêtres.


Un livre étonnant, une brique de 405 pages, dont 70 pages de notes explicatives, fort heureusement regroupées à la fin du volume.

Marc-André Gagnon, Vin Québec

Réfugiés acadiens en France, 1758-1785 (Les)

Ce livre consacré à la grande déportation des Acadiens bouscule les idées reçues sur la manière dont la France a pu les accueillir.


Difficile à la lecture de cette épopée de ne pas faire le parallèle avec un autre grand dérangement, plus proche de nous. Il y a cinquante ans, l'administration française avait dû faire face à une première vague de rapatriement de colons, près d'un million de Pieds-Noirs contraints de quitter l'Algérie. Moins de trente ans après leur arrivée, les Acadiens, ne parvenant pas à s'intégrer dans la société, retournèrent en Amérique du Nord. En plein milieu du XVIIIe siècle, la société française était déjà traversée par cette question d 'actualité : Qu'est-ce qu'être français.

Jean-Michel Gouin, La Nouvelle République

À table en Nouvelle-France

Tant pour ses recettes que pour les informations qu'il offre sur l'alimentation au XVIIe et XVIIIe siècles, ce livre se révèle fascinant. On déboulonne certains mythes (pensons seulement aux colons français qu'on soupçonne à tort d'avoir adopté les habitudes alimentaires des Amérindiens), explique l'origine de certains goûts tel que celui pour le sucre qui s'implante avec l'arrivée des Anglais et comment des aliments aujourd'hui fort répandus se sont imposés en Nouvelle-France.


C'est donc un livre à acheter, ne serait-ce que pour se faire une idée de ce que pouvait manger nos ancêtres et essayer les recettes - délicieuses d'ailleurs - de cette époque.

Alex Tremblay, CHYZ 94,3

Bacchus en Canada

Elle portait de grands espoirs vinicoles, qu'elle a déçus les uns après les autres. Mais la Nouvelle-France n'est pas restée abstinente pour autant. Selon l'historienne Catherine Ferland, les canadiens de l'époque avaient même accès à une plus grande diversité de boissons que les Français, souvent confinés, pour s'approvisionner, à leur vignoble local. En fait, l'alcool a joué un rôle majeur dans le développement de la colonie, au point qu'il aurait pu complètement changer la face du continent.

Caroline Monpetit, Le Devoir

Bacchus en Canada

Entreprise fort originale que celle de retracer l'histoire de nos ancêtres à partir de leur consommation d'alcool ! Au carrefour de l'histoire et de l'anthropologie, l'ouvrage porte un regard inédit sur les pratiques culturelles de l'époque.

David Murray, Le Délivré (librairie Monet)

Joseph-Elzéar Bernier

L'originalité du personnage, l'abondance des illustrations, la précision des cartes géographiques de même que la qualité de l'écriture font de cette biographie un ouvrage captivant.

Léo Beaudoin, Montréal en tête

Jacques Labrie. Écrits et correspondance

Cette étude, qui comble un vide, fait revivre une étonnante personnalité de la première moitié du 19e siècle au Bas-Canada.


Jonathan Lemire offre une précieuse pièce aux amateurs de notre histoire.

Léo Beaudoin, Montréal en tête

Réfugiés acadiens en France, 1758-1785 (Les)

Le grand récit acadien, tel qu'il est nourri de part et d'autre de l'Atlantique, est bousculé par l'historien Jean-François Mouhot qui s'appuie sur des sources inédites.

Pauline Lumeau, L'Actualité Poitou-Charente

Année des Anglais NE (L')

Ceux qui disent volontiers que nous n'avons jamais connu la guerre auraient intérêt à lire ce livre de Gaston Deschênes dont la documentation est riche. Grâce à cet historien, nous en savons un peu plus sur cette longue Guerre de Sept Ans qu'on résume trop facilement par une bataille perdue Montcalm qui pourtant, avec Lévis, furent plusieurs fois vainqueurs.


Le lecteur aura aussi le plaisir de lire un beau livre, bien de la manière du Septentrion avec son iconographie originale et généreuse, ses encarts instructifs sur les actants des deux côtés de l'Histoire.

André Gaulin, Bulletin de l'amicale des anciens parlementaires du Québec

À table en Nouvelle-France

Saviez-vous qu'à son décès en 1760, l'évêque de Québec possédait 7 livres de truffes dans son garde-manger ? C'est, entre autres, ce que nous apprend l'historien Yvon Desloges dans cet ouvrage bien documenté , attrayant avec ses illustrations en couleurs et son papier glacé, et d'une lecture agréable. Desloges dresse un portrait clair et précis de ce qui se consommait en nos contrées entre le début du XVIIe et la fin du XVIIIe siècle, au fil des influences des divers groupes culturels, tant amérindiens que français ou anglais. Le tout est complété par une quarantaine de recettes concoctées chez le paysan, au palais du gouverneur, dans les couvents, chez les curés et même chez l'aubergiste.

Yves Guillet, Le Libraire