Nos livres font parler d'eux
Amour du livre (L’)
Parsemé d’illustrations provenant principalement des fonds et collections d’archives de BAnQ, cet ouvrage propose un voyage dans le monde du livre, monde passionnant s’il en est un, et qu’il n’est pas donné à tous de connaître aussi intimement.
, À rayons ouvertsTerra Nostra
Terra nostra compose donc au total une sorte de portrait général du pays à travers sa cartographie. Atlas des atlas, il propose un panorama géographique, mais en même temps historique, sociologique et même idéologique du Canada. Les cartes s'y révèlent porteuses d'une multiplicité de fonctions, comme des concentrés illustrés de pouvoir et d'idéologie, de rêve et de vision du monde. Elles ont stimulé les fantasmes de gloire et de fortune des premiers explorateurs du continent. Elles ont assuré la mainmise territoriale des conquérants. Elles ont aussi, tout simplement, permis de mieux comprendre cette portion de notre planète devenue «notre terre»
.Le travail original est mené de main de maître, dans une langue simple et belle relayant des connaissances profondes du sujet, par Jeffrey S. Murray, archiviste principal à Bibliothèques et Archives Canada. Dès les premières lignes, il affirme occuper «le meilleur emploi du monde» puisqu'il se consacre depuis vingt ans à l'acquisition, la conservation et l'analyse de documents sur «l'héritage cartographique du Canada». Le fonds de l'institution, qui a servi à la production de l'ouvrage, comprend 1,7 million de cartes, dont certaines produites par les hommes du général Murray, évidement.
Stéphane Baillargeon, Le DevoirArt sacré en Amérique française (L’)
Le trésor unique de la Côte-de-Beaupré se trouve disséminé entre les églises qui l’ont vu naître et les musées. Le trésor de la Côte-de-Beaupré a permis de le regrouper dans un seul livre et permet aux néophytes comme à lhistorien de l’art ou non, d’en avoir un aperçu global.
Louise Chevrier, Histoire QuébecUn loup parmi les loups
Cossette nous plonge directement dans le vice du système où l’argent est roi et maître. Une fiction trop vraie, un monde vaste et repoussant. Encore faut-il que le lecteur ait envie de s’y mouiller.
Anick Gosselin, Lecteurs.caChroniques d’une petite enfance
À cinquante ans, devenir père allait bouleverser sa vision du monde. Presque vingt ans plus tard il nous donne rendez-vous avec cette façon singulière et tout à fait délectable qu'il a de parler des choses et de la vie. Ses textes sont sensibles, touchants, étonnants, ils se laissent lire comme on écouterait une musique familière. et pourtant inédite.
Pauline Hamel, VoirCol romain et culottes de tôle
C'est écrit de main de maître et nous sommes certains que de coucher sur papier ce qui fut son passé a dû être pour lui comme un acte définitif de résilience avec un régime catholique étouffant au possible en communauté. L'homme est cultivé et son histoire est parsemée de beaux traits d'esprits.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comChroniques d’une petite enfance
Pierre Bureau lance une petite plaquette toute tendre où il parle des joies de la paternité. C'est assez rare en littérature d'ici. Il le fait d'une manière charmante qui va faire craquer toutes les lectrices et donner le goût aux hommes de découvrir de nouveaux horizons à la vie.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comContes et mystères de la forêt
...un joli cahier qui mêle des contes des Premières Nations et de petits paragraphes qui expliquent tantôt une coutume ou un fait culturel propre aux premiers arrivants. C'est vraiment bien conçu. Même que les adultes en apprennent énormément.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comSe créer des ancêtres
...elle nous rappelle le vaste intérêt pour la généalogie qui est née dans le dernier tiers du XIXème siècle.
...une documentation présente et enrichissante. Vous verrez que la généalogie mène loin.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comEscaliers publics en fer de la ville de Québec (Les)
Tout en racontant l'histoire de ces escaliers de fer, l'auteure en profite pour décrire l'évolution des quartiers St-Jean Baptiste (Haute-Ville) et St-Roch (Basse-Ville). Le livre est rempli de vieilles photos qui nous laissent rêveur, dont une de la côte d'Abraham.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comCher Émile
J’ai vécu des relations amoureuses difficiles, j’ai fait des mauvais choix...et la réalité a fini par rattraper la fictionconfie Éric Simard. Une révélation qui rend la lecture de Cher Émiled’autant plus troublante. Sentiment de culpabilité d’un voyeur assouvi!
Marie-Claude Masson, La Voix du villageArt sacré en Amérique française (L’)
Merveilleusement bien illustré et présenté dans une mise en page remarquable(due à Louise Méthé), ce beau livre regroupe les trésors religieux constitués depuis le XVII ième siècle, sur la Côte-de-Beaupré, située non loin de Québec, lieu de fondation de la Nouvelle-France.
Jean-Yves Garneau, Prêtre et pasteurCher Émile
Du retour à l’enfance, au souvenir d’attaques homophobes et de relations désatreuses, on verra comment le caroussel thérapeutique aura fini par avoir son effet positif sur Éric.
Julie Sergent, Entre les lignesChamplain
Abondamment illustré de gravures et de cartes anciennes, ce collectif porte un regard neuf sur la vie du fondateur de Québec.
Sous ses allures de beau livre
, cet ouvrage d’érudition permet d’en apprendre davantage sur un personnage que l’on croyait pourtant bien connaître. Dave Noël, Cap-aux-DiamantsDéfi français (Le)
Un essai original en raison de la lorgnette francophone. L a France et le Québec! Un essai teinté d’affection pour le monde francophone, sans renoncement à la plume critique qui sait châtier ceux qu’on aime. Un essai rempli de renseignements et de liens utiles pour se situer dans le nouvel ordre mondial.
Gérald Leblanc, La PresseGuide du parfait survivant (Le)
La force d’Yvon Laverdière est la sienne. Est-ce qu’elle peut servir à d’autres? Incontestablement oui.
Michel Peterson, Nuit blancheCher Émile
On ne peut reprocher à Éric Simard d’embellir ou de falsifier la réalité par le biais de la fiction. Presque sans pudeur, il raconte la douleur comme le bonheur qui ont traversé les relations amoureuses successives qu’il a connues.
Anne-Marie Guérineau, Nuit blancheCher Émile
Le tout ressemble fort à une psychothérapie où le narrateur tente d’y voir plus clair dans sa vie et dans les drames amoureux qui l’ont ponctuée. En l’espèce, l’auteur-Éric Simard-réussit bien à mettre la confusion inhérente à une peine amoureuse.
Benoît Migneault, FuguesPeur au ventre (La)
Une heureuse rencontre entre un vétéran de la guerre 39-45 et une écrivaine qui engendre un récit sans pudeur, non dénué d’esprit et de tendresse, et empreint d’une grande charge émotive
Christian Vachon, Le LibrairePeur au ventre (La)
Il faut lire le soldat Auger
Didier Fessou, Le SoleilMourir pour renaître à la vie
L’auteur partage des scènes parfois tragiques, parfois saintes. À travers une spiritualité certaine, l’expérience vécue est sans aucun doute intense et marquante. Un style d’écriture assuré, profond et coloré, s’adressant aux amateurs d’images et de figures. Un témoignage touchant s’inscrivant dans une démarche de libération intérieure.
Anick Gosselin, Lecteurs.caPeur au ventre (La)
Que l’on n’oublie pas, non plus, le nom de Julie Hubert. Qu’on la remercie pour la passion derrière un tel projet. Ensemble, Marcel Auger et elle ont donné naissance à un rigoureux et passionnant récit historique. Si ce n’eut été d’eux et leur passion, nous n’aurions pas eu le privilège de lire cette touchante histoire… et quel dommage qu’elle n’eût jamais été racontée ainsi auparavant.
Élizabeth Doyle, Lecteurs.caDéfi français (Le)
M. Dufour est professeur à l'École nationale d'administration publique à Montréal. Son essai est une profession de foi pour un Québec qu'il aime. Il nous montre en quoi le Québec est progressiste et peut servir de référence.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comCher Émile
Chacune de ces lettres nous ramène devant notre propre solitude, notre monologue intérieur. Cet univers sensible que présente l’homosexualité est profondément touchant, à un point tel que, de par son intensité, il s’avère finalement asexué. La réalité qu’exposent ces pages est dense et témoigne d’un monde émotif complexe. L’immense portée des émotions véhiculées est profondément bouleversante.
Anick Gosselin, Lecteurs.caPeur au ventre (La)
Tous ceux qui veulent savoir à quoi ressemble une guerre ont la possibilité de lire un récit unique. Merci Mme Hubert et grand merci à Marcel Auger pour son geste de transparence. C'est l'humanité qui gagne au change.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comMourir pour renaître à la vie
Un récit fatalement poignant.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comSaisons Atikamekw
Quand on songe au racisme endémique dont les petites explosions locales font parfois frémir les pages de nos journaux et aussi à cette belle époque où, pour être un artiste engagé, il suffit d’insérer quelques vocalises de Florent Vollant dans deux ou trois chansons, on peut trouver l’affirmation de Laurie courageuse, et elle l’est. Le livre de Line Rainville, par ailleurs, fourmille d’observations instructives et de descriptions pertinentes et gagne à être lu comme le journal de terrain d’une sociologue ayant payé de sa personne.
Louis Hamelin, Le DevoirStanislas Tougas
Le récit est alerte, vivant et émouvant. Le texte, solidement documenté, est pourvu de tout son appareil de références et complété judicieusement par de nombreuses photos, cartes, copies de documents et par un index et des notes concernant les sources.
Un livre petit format, mais au contenu impressionnant!
Gilles Laprade, Mémoires de la Société généalogique canadienne-françaiseNégation de la nation (La)
Selon le politologue Guy Laforest, qui en signe la préface, cet ouvrage «aura l'effet d'une petite révolution sur le milieu universitaire et la vie intellectuelle au Québec» parce que, en plus d'être un modèle de précision et de rigueur, il déplaira autant aux fédéralistes qu'aux souverainistes.
Tout compte fait, et contrairement, dans une certaine mesure, à ce qu'affirme le professeur Laforest, c'est essentiellement aux fédéralistes en tout genre que cet ouvrage déplaira puisqu'il leur dit que leur option est devenue incompatible avec la survie de l'identité culturelle québécoise, qui passe nécessairement, aujourd'hui, par la souveraineté. Bien sûr, les historiens et sociologues de tendance nationaliste trouveront à redire sur une partie de la thèse, c'est-à-dire celle qui affirme que le pacte de 1867 pouvait être favorable à la survie et au développement de l'identité québécoise, mais ils ne pourront néanmoins qu'être d'accord avec les conclusions de cet ouvrage, d'autant plus retentissantes qu'elles proviennent d'une savante qui n'est pas associée à une démarche militante.
Louis Cornellier, Le DevoirRodolphe Mathieu, 1890-1962
...non seulerment a-t-elle su relever le défi de redonner vie à un personnage oublié. mais elle recrée son milieu, le fait évoluer parmi ses pairs, relève les difficiles conditions d’existence des musiciens québécois au début du siècle dernier et pénètre avec une remarquable maîtrise dans l’intimité de la vision esthétique de son personnage de même qu’aux sources de son inspiration.
Léo Beaudoin, Montréal en tête101 recettes de la cuisine de la chasse [nouvelle édition]
...Michel de Courval comble une lacune avec des recettes dont la seule mention et les illustrations donnent faim: bouchées de caribou sauce soubise; boulettes d'ours à la manière de José, soupe de gibier à plumes aux quenelles de viande; bécassines sauitées à l'armagnac. De la gastronomie vraiment inédite et surtout authentiquement québécoise.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comÉclosion (L’)
Pour avoir une idée de la sociologie du Québec au XXième siècle, l'ouvrage de référence sur notre identité vient tout juste de débarquer en librairie L'Éclosion avec en sous-titre De l'ethnie-cité canadienne française à la société québécoise.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.com