Nos livres font parler d'eux

Champlain

Abondamment illustré de gravures et de cartes anciennes, ce collectif porte un regard neuf sur la vie du fondateur de Québec.


Sous ses allures de beau livre

, cet ouvrage d’érudition permet d’en apprendre davantage sur un personnage que l’on croyait pourtant bien connaître.

Dave Noël, Cap-aux-Diamants

Défi français (Le)

Un essai original en raison de la lorgnette francophone. L a France et le Québec! Un essai teinté d’affection pour le monde francophone, sans renoncement à la plume critique qui sait châtier ceux qu’on aime. Un essai rempli de renseignements et de liens utiles pour se situer dans le nouvel ordre mondial.

Gérald Leblanc, La Presse

Guide du parfait survivant (Le)

La force d’Yvon Laverdière est la sienne. Est-ce qu’elle peut servir à d’autres? Incontestablement oui.

Michel Peterson, Nuit blanche

Cher Émile

On ne peut reprocher à Éric Simard d’embellir ou de falsifier la réalité par le biais de la fiction. Presque sans pudeur, il raconte la douleur comme le bonheur qui ont traversé les relations amoureuses successives qu’il a connues.

Anne-Marie Guérineau, Nuit blanche

Cher Émile

Le tout ressemble fort à une psychothérapie où le narrateur tente d’y voir plus clair dans sa vie et dans les drames amoureux qui l’ont ponctuée. En l’espèce, l’auteur-Éric Simard-réussit bien à mettre la confusion inhérente à une peine amoureuse.

Benoît Migneault, Fugues

Peur au ventre (La)

Une heureuse rencontre entre un vétéran de la guerre 39-45 et une écrivaine qui engendre un récit sans pudeur, non dénué d’esprit et de tendresse, et empreint d’une grande charge émotive

Christian Vachon, Le Libraire

Mourir pour renaître à la vie

L’auteur partage des scènes parfois tragiques, parfois saintes. À  travers une spiritualité certaine, l’expérience vécue est sans aucun doute intense et marquante. Un style d’écriture assuré, profond et coloré, s’adressant aux amateurs d’images et de figures. Un témoignage touchant s’inscrivant dans une démarche de libération intérieure.

Anick Gosselin, Lecteurs.ca

Peur au ventre (La)

Que l’on n’oublie pas, non plus, le nom de Julie Hubert. Qu’on la remercie pour la passion derrière un tel projet. Ensemble, Marcel Auger et elle ont donné naissance à un rigoureux et passionnant récit historique. Si ce n’eut été d’eux et leur passion, nous n’aurions pas eu le privilège de lire cette touchante histoire… et quel dommage qu’elle n’eût jamais été racontée ainsi auparavant.

Élizabeth Doyle, Lecteurs.ca

Défi français (Le)

M. Dufour est professeur à l'École nationale d'administration publique à Montréal. Son essai est une profession de foi pour un Québec qu'il aime. Il nous montre en quoi le Québec est progressiste et peut servir de référence.

Daniel Rolland, Culture Hebdo.com

Cher Émile

Chacune de ces lettres nous ramène devant notre propre solitude, notre monologue intérieur. Cet univers sensible que présente l’homosexualité est profondément touchant, à un point tel que, de par son intensité, il s’avère finalement asexué. La réalité qu’exposent ces pages est dense et témoigne d’un monde émotif complexe. L’immense portée des émotions véhiculées est profondément bouleversante.

Anick Gosselin, Lecteurs.ca

Peur au ventre (La)

Tous ceux qui veulent savoir à quoi ressemble une guerre ont la possibilité de lire un récit unique. Merci Mme Hubert et grand merci à Marcel Auger pour son geste de transparence. C'est l'humanité qui gagne au change.

Daniel Rolland, Culture Hebdo.com

Saisons Atikamekw

Quand on songe au racisme endémique dont les petites explosions locales font parfois frémir les pages de nos journaux et aussi à cette belle époque où, pour être un artiste engagé, il suffit d’insérer quelques vocalises de Florent Vollant dans deux ou trois chansons, on peut trouver l’affirmation de Laurie courageuse, et elle l’est. Le livre de Line Rainville, par ailleurs, fourmille d’observations instructives et de descriptions pertinentes et gagne à être lu comme le journal de terrain d’une sociologue ayant payé de sa personne.

Louis Hamelin, Le Devoir

Stanislas Tougas

Le récit est alerte, vivant et émouvant. Le texte, solidement documenté, est pourvu de tout son appareil de références et complété judicieusement par de nombreuses photos, cartes, copies de documents et par un index et des notes concernant les sources.


Un livre petit format, mais au contenu impressionnant!

Gilles Laprade, Mémoires de la Société généalogique canadienne-française

Négation de la nation (La)

Selon le politologue Guy Laforest, qui en signe la préface, cet ouvrage «aura l'effet d'une petite révolution sur le milieu universitaire et la vie intellectuelle au Québec» parce que, en plus d'être un modèle de précision et de rigueur, il déplaira autant aux fédéralistes qu'aux souverainistes.


Tout compte fait, et contrairement, dans une certaine mesure, à ce qu'affirme le professeur Laforest, c'est essentiellement aux fédéralistes en tout genre que cet ouvrage déplaira puisqu'il leur dit que leur option est devenue incompatible avec la survie de l'identité culturelle québécoise, qui passe nécessairement, aujourd'hui, par la souveraineté. Bien sûr, les historiens et sociologues de tendance nationaliste trouveront à redire sur une partie de la thèse, c'est-à-dire celle qui affirme que le pacte de 1867 pouvait être favorable à la survie et au développement de l'identité québécoise, mais ils ne pourront néanmoins qu'être d'accord avec les conclusions de cet ouvrage, d'autant plus retentissantes qu'elles proviennent d'une savante qui n'est pas associée à une démarche militante.

Louis Cornellier, Le Devoir