Nos livres font parler d'eux
Agenda Memini 2014
Un ouvrage à donner en cadeau à tous ceux qui veulent en savoir plus sur nos origines.
André Maccabée, Cité BoomersC'est encore faux!
C'est le livre idéal pour une lecture buissonnière, fureteuse, curieuse, quand, dans un monde où tout va vite, nous disposons de cinq ou dix minutes pour apprendre, réfléchir ou trouver la réponse à certaines de nos questions de manière simple et instructive. Au final, ce deuxième tome est aussi recommandé que le premier. Il pourra assurément alimenter les conversations, et le lecteur en sortira armé contre certains raccourcis qui relèvent parfois presque de la légende urbaine !
Frédérick Durand, CFOU 89,1 (Trois-Rivières)Mouvement naturel des choses (Le)
"La nature humaine est insaisissable, instable et continuellement insatisfaite." Cette réflexion me semble constituer le noeud du roman. Je dis roman, car ce journal intime se lit comme un roman.
Paul-François Sylvestre, L’Express (Toronto)Mouvement naturel des choses (Le)
La justesse du ton est peut-être la plus grande force du livre. Ainsi en évitant les écueils propres à cette mise en scène de sa vie, Éric Simard se donne comme un ami qui se confierait à ses lecteurs sans forfanterie ni misérabilisme. Et il est à peu près sûr que beaucoup de lecteurs se sentiront au détour des pages très proches de lui.
Denis-Daniel Boullé, FuguesPassagers de la tourmente
Anne Peyrouse n'est pas du genre à suivre les lignes droites, pures et sans failles. Son écriture sort des sentiers battus, Plusieurs de ses nouvelles commencent par une phrase coup-de-poing.
Paul-François Sylvestre, L’Express (Toronto)Chroniques d'une fille indigne (Les)
C'est connu : de par leur spontanéité, leur naïveté et leur créativité, les enfants sont de grands humoristes. Il suffit de naviguer sur notre fil Facebook pour lire ces mots d'enfants rapportés chaque jour par leurs parents. Ajoutez à ces perles le talent combiné de la scénariste Caroline Allard et de l'illustrateur Francis Desharnais, et vous êtes quitte pour un hilarant moment de lecture.
Jean-Dominic Leduc, Journal de MontréalGuerre de Sept Ans en Nouvelle-France (La)
Voici un bel ouvrage collectif sur un sujet historique resté sensible, cher au coeur de plusieurs d'entre nous. Il nous offre une collection d'interventions par des spécialistes. On pourrait donc craindre, de prime abord, que cette variété de sources ne produise un ensemble disparate, voire cacophonique, or il n'en est rien. Les diverses contributions se relancent mutuellement et se complète harmonieusement.
René Tessier, Pastorale QuébecMouvement naturel des choses (Le)
Je n'ai qu'un mot en tête, je vais le cracher tout de suite, puisqu'il obstrue tous les autres : généreux. Une personne qui se donne à son lecteur à ce point-là m'impressionne. Le principal intéressé dirait probablement qu'il a posé des filtres, mais comparativement au commun des mortels, si peu.
Comment Éric Simard se livre-t-il? Par jour, par mois, par année, au final sept (1989 à 1997), à partir de journaux intimes tenus passionnément en ces années-là. Comment faire tenir huit années dans 400 pages, tout en conservant la forme journal? On parle de travail de réécriture ici. D'un puissant recul qui pousse la lucidité dans ses derniers retranchements. De don pour donner et tenir un rythme.
J'ai lu comme une boulimique. J'ai dû me taper sur les doigts pour me ralentir.
Venise Landry, Le Passe MotMaîtresse (La)
Un récit qui surprend et qui fait réfléchir.
Marie-Josée Turgeon, Sympatico.caMaîtresse (La)
C'est en deux temps et deux espaces que se déroule le récit du deuxième roman de Lynda Dion, La Maîtresse; deux univers qui communiquent et s'entrelacent pour révéler la puissance d'une écriture et l'humilité d'une auteure à ses commencements.
Maud Lemieux, La Recrue du moisChroniques d'une fille indigne (Les)
Impolie, têtue et drôle, la Lalie ? Sans l'ombre d'un doute! Sous les traits de Francis Desharnais (Burquette), elle prend d'ailleurs l'allure d'une ange... souvent cornue. Un petit monstre attachant, quoi!
Valérie Lessard, Le DroitChroniques d'une fille indigne (Les)
Indispensables mots d'enfants!
recueillis par l'instinct maternel douteux de Caroline Allard et illustrés par le crayon malicieux de Francis Desharnais, les mots d'enfants de la petite Lalie, pleine d'esprit, s'épanouissent dans Les Chroniques d'une fille indigne, un recueil qui fait rire souvent et beaucoup, et de bon coeur.
Marie-France Bornais, Journal de Québec
Mouvement naturel des choses (Le)
Après Cher Émile et Être, Éric Simard tient le pari de publier huit ans de journaux intimes. Des textes avec de véritables qualités littéraires qui nous ramènent à nos 20 ans, avec tous les doutes que peut éprouver un jeune homme à la sortie de l'adolescence.
Denis Gamache, Librairie Au CarrefourChroniques d'une fille indigne (Les)
La bonne humeur engendrée par ce recueil confirme instantanément l'addiction à la plume de Caroline Allard et au coup de crayon de Francis Desharnais.
Pourtant, loin de créer une impression de déjà-vu, Les Chroniques d'une fille indigne mettent en scène ces instants typiques de manière inédite, à la fois dans le langage, le rythme et bien sûr les dessins (la partie d'ombres chinoises est un pur moment d'anthologie.
Non seulement on adore dès la première lecture, mais un des plaisirs récurrents consiste à le laisser à un endroit où on passe souvent, histoire d'ouvrir au hasard ce petit livre et de s'offrir de grands éclats de rire. On l'aime et on en redemande!
Marie-Pierre Laëns, La bible urbaineMouvement naturel des choses (Le)
Lors de sa lecture du quatrième tome du journal d'Anaïs Nin, Simard écrit : "Si j'aime autant ce journal, c'est que je me reconnais dans son propos". La réside aussi la force du Mouvement naturel des choses. Ceux qui étaient dans la vingtaine dans les années 90 se souviendront des références culturelles auxquelles l'auteur fait allusion alors que ceux qui sont présentement dans la vingtaine se reconnaîtront dans les réflexions sur l'avenir. S'identifiant au personnage, il est facile pour le lecteur de s'attacher et de se mettre à sa place. Plus qu'une question d'empathie, les pensées et la quête d'authenticité d'Éric sont crédibles et universelles.
Jean-François Lebel, La bible urbaineMaîtresse (La)
Deux ans après la parution saluée de La Dévorante, son premier roman, Lynda Dion affirme son filon et sa voix en publiant La Maîtresse.
Habilement écrit dans un souffle emporté, le récit a son rythme propre et singulier. Les dédales empruntés par l'auteure nous égarent parfois, mais celle-ci tresse au final tous les fils ensemble et boucle son récit avec doigté.
Karine Tremblay, La Tribune